Un valet de chambre recruté par le CONOR pour en faire un bras armé! (tribune)

C’est un mercenaire de la plume sans scrupule plus qu’un valet de chambre, le journaliste au parcours misérable, à la vocation étriquée et à la formation ratée vient d’être recruté pour servir de faire valoir à des froussards tapis dans l’ombre.
 
Amadou Diouldé Diallo, puisqu’il s’agit de ce Kleenex de salon sans odeur ni couleur, rebelote. Ce farba qui a trahi sa vocation et son destin de crieur public se fait passer pour ce qu’il n’est pas malheureusement.
Tantôt, historien aux récits fabriqués, tantôt soi-disant journaliste qui s’est fait une carrière sans méthode ni gloire avec le grand vide de l’époque mais qui est en réalité, un simple nègre.
Farba Diouldé vend ses services au mieux offrant et parfois avec sans vergogne pour juste joindre les deux bouts.
Profitant du désordre actuel dans le monde du football guinéen, ce vilain petit canard oublié de tous puisque d’ailleurs n’ayant jamais été quelque chose d’enviable dans le domaine auquel il s’est retrouvé par effraction, reprend service dans son art de falsifier l’histoire et de s’autoproclamer en fin connaisseur de tout et presque témoin de rien.
Lui qui se distingue des autres par son inconstance et sa volatilité au gré de ses intérêts ou du vent, a le seul mérite de s’adapter à l’air du temps et de retourner sa veste sans complaisance.
Farba Diouldé depuis qu’il a été surpris les jours passés dans les locaux du CONOR, subitement, le champion guinéen des fables a repris le chemin des studios pour déverser sa bulle de haines.
Notre fameux historien qui ne se rappelle jamais d’hier, ni du fait ni du bien fait prend  ses délires pour  la réalité en s’inscrivant dans une logique éhontée de réécriture de  l’histoire, la vraie, en faveur des contrevérités dont il est le seul dernier mauvais génie à garder encore le secret.
Il a tout dit ce dimanche 12 février 2023 sur Espace Fm dans l’émission “Foot Express”. De l’insolence , de la haine, de l’ingratitude, Diouldé s’est laissé avaler par la parole.
Il a couvert de grossièretés de toutes sortes à l’homme qui l’a empêché de déambuler nu à Conakry.
On ne dira pas ici tout ce qu’il a bénéficié comme privilèges et traitement singulier de la part d’Antonio Souaré, devenu aujourd’hui, sa cible à abattre.
Sans trop m’attarder sur ce vieux croûton qui a perdu le sens de la raison et qui cherche à rattraper à tout prix son retard sur la vie quitte à se vendre au diable, il est tout naturellement important de relever quelques contradictions dans son tapage du jour.
 
Sur le cas du stade de Nongo
 
A entendre farba Diouldé qui puait une haine viscérale contre son bienfaiteur Antonio Souaré, l’État doit automatiquement transférer le stade dans son patrimoine. C’est ridicule. Le pauvre intellectuel qui a triché dans sa formation oublie que dans le cadre de la gouvernance, l’État peut soit par concession ou gestion déléguée, accorder, transférer à une personne physique ou morale ou même par une cogestion.
C’est le cas de l’hôpital Donka aujourd’hui …
Au lieu de se fixer sur Nongo, pour le besoin de la cause, pourquoi pas alors le stade du 28 septembre ?
 
Sur le cas de la Feguifoot
 
Comme le fou du village, Farba Diouldé qui transpire de jalousie s’en prend aux mécènes du football à tort. Il les accuse d’être seuls responsables de la crise dans le football.
Plus loin, il invite le Colonel à s’immiscer dans la crise actuelle. Ce que même Alpha Condé n’a pas. Quelle niaiserie? Aime-t-il vraiment le Colonel ou veut-il le mettre en mal avec la jeunesse qui se reconnait nulle part ailleurs que dans le football. Il faut sauver le pantin de la folie !
Farba Diouldé est bourré d’incohérences et manque de pertinence.
Que personne n’oublie de son rôle d’allumeur de feu dans le pourrissement du football actuel.
Ce récit de la contre histoire que Farba Diouldé Diallo veut écrire ne passe à notre époque.
D’ailleurs, on sait qui il est!
Comme disent les jeunes du café, manges et tais-toi, Farba Diouldé!
 
Par Amadou Diouma Bah.