La Sénégal est aujourd’hui emporté par une question préjudicielle, celle de savoir qui le dirigera après maquis sale. La classe politique sénégalaise, elle engagée dans une bataille politique sans précédent, chaque leader politique croit avoir le profil atypique pour consoler le Sénégal de ses pleures ataviques, mais seulement sommes-nous poser la question de savoir parmi ces innombrables prétendants au pouvoir, combien ont le profil adapté et la moralité requise pour occuper la plus haute fonction du pays ou encore qui parmi ces leaders est mieux placé pour diriger le Sénégal après maquis sale ?
Si l’on croit à la fatalité, une chose est sûre, c’est que l’on n’échappe pas à son destin. Qu’il soit tragique ou merveilleux, notre avenir finit toujours par nous rattraper. Face à cette incertitude, on peut essayer de prédire les aléas de son existence, à grand renfort d’oracles, d’horoscopes ou de jeux de cartes.
On peut s’en remettre à la providence divine, à la chance ou tenter de provoquer le destin. S’il est difficile d’être certain des événements et défis qui nous attendent, chacun doit être porté à croire à son destin, c’est une question principielle. C’est pourquoi tout porte à croire que l’homme au profil adapté c’est leader charismatique au talent fédérateur Ousmane Sonko, cet homme incarne toutes les qualités requises pour gouverner le Sénégal et le sortir de l’ornière.
Son parcours est un cas d’école, son expérience éduque toute une génération en construction permanente, son courage politique donne des vertiges aux camps adverses, son honnêteté est un don en-soi, sa transparence rassure tout un peuple, sa démarche politique force l’admiration des uns, son intelligence résout tout le Sénégal et le place au-dessus de ces attentes futures.
Le destin d’Ousmane Sonko désigne une puissance supérieure à la volonté humaine qui régirait le cours des événements de tout un peuple porté à l’élire Président de la République pour que ce même destin écrive l’histoire à venir d’un individu, d’une société, d’un continent et de l’humanité tout entière ou encore de l’univers.
Déjà que tout est écrit et ne peut être modifié par aucun homme, il apparaît comme la panacée au mal sénégalais. Cher.e.s sénégalais, sénégalaises, ensemble portons cet homme à la tête du grand Sénégal pour ne pas être accusé par le Sénégal dans un futur lointain d’être responsable de son retard devant Dieu et l’histoire, car Dieu nous l’a offert comme cadeau.
En lui seul se résume, développement, travail et mérite. N’est-ce pas ce que les sénégalais et le Sénégal veulent depuis longtemps ?
À chacun d’en juger ?
Aboubakr Guilavogui.