Un peu partout dans la capitale , des bacs à ordures non déchargés et font la loi sur plusieurs tronçons de la ville . Un état de fait que dénonce Wahab conducteur de taxi sur la route le prince interrogé au rond point de bambeto.
« Cette situation est récurrente, on ne sait pas si les éboueurs sont en grève ou pas. Mais le fait de voir ces tas d’immondices sur nos routes est une honte pour notre capitale. Parfois on a du mal à se garer pour prendre ou débarquer nos passagers».
Dans la même zone, une femmes vendeuse de pains pousse sa colère sous anonymat. «En cette période hivernale, ajouter aux saletés là. Vous même faites le calcul du résultat que nous encourons. A cause du retard dans l’évacuation de ces ordures les clients zapent nos marchandises et on a pas de places ailleurs », déplore-t-elle
En attendant le salut des éboueurs, des artères de Conakry cohabitent avec des ordures.


Mathé Bah