Omerta, le désespoir est abyssal ! Mais pour autant l’espoir est permis, un homme constitue la solution pour notre cher pays. Optimiste je le suis, comme nombreux de guinéens épris d’un pays de justice, de liberté et d’égalité, avec Le Président Faya Millimouno oui ce rêve guinéen recalé pendant longtemps par ceux qui se faufilaient et continue de se faufiler dans la mousse de tout ce qui est indigne en politique, est possible.
« Malheur à vous, Faux prophètes déguisés aujourd’hui en des présidents des partis politiques, niais, qui à un moment donné de l’histoire politique de la Guinée possédiez les clés de l’ouverture de la Guinée à une véritable ère démocratique que vous prétendez vouloir instaurer aujourd’hui, après avoir été incapables de le faire en étant à des si hauts postes de l’État et qui n’êtes point des démocrates, mais qui voulez interdire l’ascension de ceux qui aspirent au vrai changement démocratique ». Dans la nébuleuse affolée des intellocrates d’un Landerneau politique, en quête d’un nouvel arrangement au cœur d’une oligarchie partisane et ethnique, certains sont plus zélés que d’autres. Tout se passe comme si l’heure était enfin propice à l’émergence des seconds couteaux du duo vieillissant.
De là, vous avez un premier qui à l’époque puissant ministre mélangeait les pédales entre démocratie et opportunisme politique pour dire qu’une saine interprétation de la Constitution de l’époque, modifiée par le Président Conté en 2001, était légitime, dans le seul but d’offrir le loisir au président Conté, d’y rester de façon indéfinie au pouvoir, brèche pour un Président à vie et à mort. L’incongruité d’un tel soutien du premier tient au fait qu’elle défie non seulement les canons sauvages de son prétendu combat politique qui converge plutôt vers cet ancien et sinistre soutien de l’époque qui fermait le débat sur la limitation de jure ou de facto du nombre de mandats présidentiels, mais aussi qu’elle méprise les luttes nationales les plus anciennes et les plus légitimes, menées par des hommes intègres pour voir émerger un véritable Etat de droit dans leur territoire. Il s’agit au fond d’une ultime invective au projet complotiste d’un ramassis d’individus de terminer leur nauséabonde mission celle de détruire finalement la Guinée, de fonder une république véritablement inégalitaire, singulière, inhumaine et insolidaire. Dans ce premier pan de l’analyse que j’estime déjà comprise. Il faut retenir que la haute contradiction qui existe entre les faits d’un homme qui était à l’œuvre étatique traduit l’insincérité de son combat d’aujourd’hui. Qui vous dit, qu’un homme qui a soutenu une présidence à vie, simplement à cause des intérêts personnels et la jouissance du pouvoir n’en fera pas pire une fois au pouvoir. Peuple de Guinée, alerte ! voyez de loin pour le bonheur de votre pays. La vérité à en déduire est qu’on ne peut pas donner une explication intellectuelle et factuelle à une telle attitude anti-démocratique. C’est un peu comme se faire passer pour un démocrate et ne pas vouloir de la démocratie. Rires.
Deuxièmement, vous avez un autre, le nabot parmi eux, l’oiseau rare des difficultés politiques mais plus présent quant-il s’agit de suivre les chefs dans les palais épais, comme un canin qu’on traîne dans les grands salons dorés, qu’il ne s’en empêche lui-même d’appeler « vouloir apporter mon aide au régime » quelle bêtise, il se moque toujours de l’intelligence des autres se pensant être le plus malin des malins, pour autant dire que tout est permis en politique avec cet homme même l’immoral et l’inacceptable, il peut passer tout son temps à s’opposer mais il ne manque jamais de sauter quant-II s’agit de changer de camp. Pour lui, l’opportunisme politique est une bénédiction de Dieu.
Ici L’invocation pompeuse de l’intentionnalité psychologique bien-fondée du constituant ou de la tradition politique, que je veux soulever tout comme la tentation de justifier la dangerosité du duo vieillissant, rigoureusement mes analyses par les critiques objectives, convergent vers un seul et même point celui de l’objectivation peut-être du poids politique de chacun des deux si vous voulez, mais cela est un arcane de polichinelle en Afrique, plus particulièrement pour le cas Guinéen, on sait comment les choses se passent, pour ameuter la troupe, d’abord pour l’un c’est pas parce-qu’il est le plus intelligent ou le plus fort et pour l’autre c’est le soutien ethnique qui est plus méthodique. Ceci pour dire, que c’est pas parce qu’ils ont les projets de sociétés les plus qualitatifs que les gens les suivent, bien au contraire, les esprits bien faits savent la réalité des choses. Pire certains utilisent même de la magie pour faire leur politique. C’est le lieu d’invoquer le satanisme des uns et des autres.
Détrompez vous donc !
Bref, pour toutes ces raisons un homme nouveau propose un alliage alchimique des idées, un alliage concret des méthodes, une alliance organisationnelle citoyenne entre les forces intellectuelles critiques et les forces démocratiques à l’œuvre dans la société, comme conditions de sortie résolue de la Guinée. Davantage que le changement d’hommes à la tête de l’Etat, il propose un besoin urgent de changement des méthodes d’institution de la liberté, mais aussi d’une réforme radicale des institutions politiques, sociales et économiques sous l’orientation de l’intérêt général. Et comme il aime le dire si bien : « Le développement de la Guinée ne passera pas par de la magie mais par une gestion inclusive et transparente. » Cet homme c’est Dr Faya Lansana Millimouno, le leader phénoménal et générationnel.
Par Aboubakr Guilavogui.
