l’étudiant à seulement 22 ans qui souhaite gouverner les étudiants africains en France les dessous d’une ambition politique
Passionné qu’il est par les enjeux politiques et culturels de l’Afrique. Étudiant en droit, qui respire politique chaque jour, avec la politique dans les veines, il nourrit des ambitions politiques audacieuses, animé par une soif ardente et inextinguible de revitaliser la communauté estudiantine africaine de la France.
Aboubakr a découvert, enfoui dans les archives poussiéreuses de la bibliothèque universitaire de cette puissante ancienne organisation, un trésor du passé : la Fédération des étudiants d’Afrique noire en France (FEANF), une organisation prestigieuse jadis éclatante, devenue silencieuse avec le temps. Inspiré par l’héritage et la puissance historique de cette organisation, il se lance dans une quête effervescente pour la réanimer et la moderniser, dans l’optique de la hisser à nouveau au sommet de l’échiquier politique estudiantin africain au plan mondial.
Convaincu de la nécessité de renforcer la solidarité et l’unité entre les étudiants africains en France, Aboubakr aspire à redonner à la FEANF ses lettres de noblesse et à en faire un pilier incontournable de la scène étudiante africaine. Sa vision dépasse les simples enjeux académiques, il veut créer un espace d’échange d’idées, de soutien mutuel et d’émulation intellectuelle pour tous les étudiants africains, pour ainsi faire de la FAENF une force motrice d’inspiration et de progrès.
Ses pairs le décrivent comme un leader charismatique, capable de fédérer autour de lui une équipe dynamique et engagée. Son discours enflammé résonne dans les couloirs des universités où il passe, suscitant l’enthousiasme et l’adhésion de nombreux étudiants africanistes. Aboubakr sait que pour réaliser ses ambitions politiques, il doit se montrer à la hauteur des attentes, faire preuve de courage et de détermination, surmonter les obstacles et tisser des liens solides avec les acteurs clés de la vie estudiantine.
En lançant sa campagne pour la présidence de la FEANF, Aboubakr incarne l’élan d’une génération résolue à prendre en main son destin. Porté par sa foi en l’avenir prometteur de la jeunesse africaine en France, il s’apprête à ouvrir un nouveau chapitre de l’histoire de la Fédération des étudiants d’Afrique noire en France, réunissant sous sa bannière une communauté diversifiée, fière de ses racines et déterminée à briser les chaînes de l’inertie pour construire un avenir radieux et solidaire.
Son dessein ardent de réveiller la Fédération des étudiants d’Afrique noire en France, une organisation jadis puissante et respectée, mais maintenant en léthargie. Son ambition de diriger et d’unir tous les étudiants africains autour de valeurs de solidarité et d’émancipation s’était heurtée brutalement à des manœuvres politiques déconcertantes, menaçant de compromettre son avenir et son engagement envers sa communauté.
Néanmoins, au lieu de fléchir devant cette adversité inattendue, Aboubakr fit le choix audacieux de rester résolu et de nourrir sa flamme intérieure. Convaincu, il l’est plus que jamais. Il voyait ce revers comme un défi à relever, une opportunité de prouver sa détermination inébranlable face à l’arbitraire des décisions politiques.
Alors que l’attente s’étirait et que les portes de la France semblaient se fermer, Aboubakr, loin de se laisser ébranler, utilisa ce temps pour renforcer ses arguments et affûter sa stratégie. Il savait que ses ambitions politiques reposaient non seulement sur son désir personnel de leadership, mais sur une vision plus vaste : celle de redonner voix et représentation à la diversité des étudiants africains en France, de revitaliser une communauté en quête de solidarité et de guidage.
Malgré les obstacles politiques qui se sont dressés sur son chemin, il demeure un symbole d’espoir et de résilience pour ceux qui partagent sa vision. Son histoire, marquée par le refus du visa mais portée par une détermination sans faille, inspire ses pairs à rester engagés et à croire en un avenir où les barrières politiques ne peuvent jamais étouffer les élans d’une jeunesse inspirée par des idéaux de progrès et de fraternité.
Aujourd’hui son ambition qui dérange beaucoup « Paris et ses pairs françafricians » lui coute déjà beaucoup trop. Car il faut rappeler que la FEANF a été dissoute un 5 Mai 1980 par un décret de l’Elysée et depuis ce jour plus rien jusque-là. Le désir de réveiller une force endormie et de guider tous les étudiants africains en France vers un avenir plus prometteur, prendre en main la Fédération des étudiants d’Afrique noire en France, lui mettra dos à dos avec l’Elysée.
Une ambition débordante qui menace de compromettre ses rêves les plus chers, mais pour Aboubakr, cet épisode de 2021 avec Paris n’était pas un point final, c’était un chapitre inachevé, une épreuve à surmonter pour mieux poursuivre sa mission.
Animé par un sentiment d’injustice et de détermination, Aboubakr a juré de relever les défis, de contourner les obstacles, de transformer l’adversité en motivation. Alors qu’il attend que les portes de la France s’ouvrent, il continue secrètement à cultiver ses rêves et ses projets, en nourrissant la flamme de l’espérance et la conviction que ses ambitions politiques ne seront pas étouffées par des individus aux manœuvres politiques devenues d’acier.
Aboubakr réussira-t-il à réaliser ce grand rêve, seul l’avenir nous le dira. En attendant bon vent à ce jeune leader.