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Tribune : Le Président Ali Bongo, l’individu hypocondriaquement hallucinogène, hallucinant et halluciné (Par Aboubakr)

Autopsie de la Traque Bongo :
« Enlève mon nom dans tes pitreries et cherche à gérer tes tourments quotidiens ». Voici pour vous, la phrase à la filée de gueule que lança le réseau mafieux de la (Françafrique) pardon (France à fric) plutôt, essence du pouvoir Bongo, au grand ronfleur du Gabon, l’individu éperdument perdu à la grosseur subitement disparue, le nabot sanguinolent de Libreville, non pardon de ville libre, et quoi d’autre ? Est-ce devrais-je le savoir ? Dommage ! Il y’a quoi à dire sur la pathétique avanie que vit le satrape et éternel roublard du Gabon. Un homme qui avance en âge mais qui régresse en maturité. Quelle empoignade à l’idiot d’un président qui est mort physiquement et moralement mais qui nous sert l’image d’un bras valide à la santé mentale bien garnie comme un plat de sauterelles servie à l’Élysée. Tenez vous bien, la santé mentale d’Ali bongo est de plus en plus inquiétante, raison de plus que son clan mafieux, composé de kleptocrates avérés, arroge des inquiétudes, puisqu’il y’a une fin à tout. Comme pour dire que rien n’est éternel car seule l’éternité est éternelle. Après avoir abusé pendant longtemps d’un peuple et de ses ressources, il est bien normal d’exprimer de la couardise au ventre. Les partisans du Bongoïsme, fonctionnaires et hauts cadres des régimes Bongo, sont aujourd’hui dans la course d’une succession malgré que celle-ci n’est pas portée au goût de leur chef psychologiquement et psychiquement déstabilisés, ceci pour un but unique, l’hypothèse sûre et valide d’échapper à la justice des gabonais qui gardent de mauvaises remembrances sur leur mémoire de ces différents régimes qui depuis là dirigent le Gabon d’une main de fer
De père au fils, Ali sait qu’il n’a plus longtemps à vivre et qu’il rejoindra très bientôt la géhenne des cieux comme peut-être son père. Secret de polichinelle ou arcane d’un certain palais ? Ce qui reste claire Ali joue le jeu de ses dernières heures dans la fourmilière politique gabonaise d’un Gabon qu’il a toujours voulu dirigé en maître absolu. Comme disait l’autre arrêtez de me parler de démocratie au Gabon, là-bas il y’a de la monarchie à servir à gogo.

Ali et le Pouvoir, toute une histoire :
Au nom de la démocratie avec la caresse d’un lendemain meilleur, combien de gabonais sont-ils tombés et combien parmi eux ont été rétablis ou réhabilités par la justice et ou, ont bénéficié d’une reconnaissance à titre posthume ? De son indépendance à nos jours, nombreuses sont ces familles qui ont été endeuillées, déchirées et blessées qui attendent de l’État gabonais, au nom duquel et pour lequel les leurs ont été décimés, le moindre acte allant dans le sens d’essuyer des larmes, porter des deuils… malheureusement rien de cela ne se fera jamais. Hélas, mille fois hélas ! Parce que justement, Les Bongos n’abusent que des largesses du pouvoir sans pour autant se soucier de l’amélioration des conditions de vie des gabonais. Le temps et la réalité du pouvoir ont prouvé que ce sont autres que des imposteurs et des filous qui ont abusé du peuple et de son immaturité légendaire. C’est une haute trahison. Ce peuple rationnel dénué de toute coloration partisane qui se compte au bout du doigt a inoculé la raison de croire que ce qui lui arrive est naturel et divin jusqu’à perdre son devoir patriotique et sa responsabilité morale pour ne pas parler de son devoir sacré.
L’hypothèse d’une insurrection populaire :

L’Afrique a une tradition connue de tous, les coups d’États. Elle a tellement du goût sucré à brigander le pouvoir politique. Cela se voit un peu partout sur le continent, des indépendances à nous jours, le décompte est inquiétant, même si certains coups finissent salvateurs et d’autres plus regrettants qu’ils ne devraient l’être. Il faut reconnaître que les gabonais présentement n’ont plus rien à perdre, pour s’empresser à faire partir un cadavre ambulant, un président qui tient la vie à la main droite et la mort à la main gauche. Même s’ils pouvaient depuis bien longtemps faire partir bongo par une insurrection populaire choix de tout peuple qui constate une complicité entre pouvoir politique dictatorial et armée de l’État pour gouverner à vie.
Après tout c’est le coup de grâce. Oups !

À la prochaine !

Aboubakr Guilavogui, leader du mouvement de la palingénésie de l’ancien gouvernement panafricain en exil (FEANF).

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