Au cours d’un point de presse tenu ce lundi 31 janvier à Conakry, la Fédération des entreprises culturelles et économiques en Guinée en abrégée FECEG a exprimé sa joie face à la nomination de son candidat au CNT. A cette occasion, la FECEG a adressé ses félicitations au futur conseiller Mamadou Thug.
« C’est avec joie que nous avons reçu la nomination du Candidat de la fédération des entreprises culturelles et économiques de Guinée, en la personne de Monsieur Mohamed Iamine Diallo, Mamadou thug, comme l’un des représentants des organisations culturelles. En cette heureuse occasion, nous tenons donc à adresser nos chaleureuses félicitations à Mamadou Thug et lui souhaitons bonne chance dans ses nouvelles prérogatives. La FECEG reste un acteur engagé dans la structuration et la mise en place d’un environnement favorable à l’exercice de nos métiers. Elle ne ménagera donc aucun effort, pour apporter sa contribution aux propositions de lois pernmettant, de faire avancer le secteur culturel dans Son ensemble« , a rassuré Ibrahima C président de la fédération.
Prenant la parole à cette occasion, Mamadou Thug Diallo a étalé ses ambitions pour cette nouvelle aventure.
» Les 81 personnes qui ont eut la chance d’être portées par les organisations de toutes les entités guinéennes vont jouer un grand rôle dans les prochains jours de la Guinée. Ensemble nous allons écrire une constitution sur laquelle la Guinée va se baser.
Parce qu’une constitution c’est tout. Faut pas qu’à chaque fois quand il y’a un président qu’on change de constitution. Il est de notre rôle de se concentrer pour donner une constitution à la Guinée qu’on va garder jalousement. Deuxièmement, avant d’être artiste on est tous Guinéens. Il y’a beaucoup de trucs qui sont dans ce pays, dont les Guinéens ne bénéficient pas. Donc, c’est au CNT de trouver des textes et lois permettant aux Guinéens de bénéficier des mines ou de tout ce qui sort de la Guinée. Troisièmement, c’est une entité qui m’a amené au CNT. J’ai donc le devoir de défendre cette entité en proposant des textes et des lois permettant à cette entité de se développer et permettant aux acteurs culturels de jouir et de bénéficier de leur passion, parce qu’on est dans la culture c’est par passion. Notre rôle aussi c’est de trouver une loi qui permettra à la culture d’être accompagnée« , a-t-il fait savoir.
Par ailleurs, la FECEG a rappelé qu’elle a adressé un mémorandum à l’ancienne gouvernance avec des réflexions qui restent à l’ordre du jour pour le développement du secteur culturel. L’administration étant une continuité, elle souhaite que ces points soient pris en compte par les nouvelles autorités du pays.
Mansaré Naby Moussa 628-030-370
