Dans une Guinée souvent marquée par les désillusions politiques, les renoncements moraux et les luttes d’intérêts personnels, rares sont les figures publiques qui arrivent à incarner à la fois l’intégrité, la vision et le courage. Aliou Bah fait partie de ces exceptions précieuses. À la fois homme politique, penseur et acteur du changement, il est aujourd’hui un repère pour les générations montantes et un miroir dans lequel beaucoup de leaders devraient avoir le courage de se regarder.
Aliou Bah, président du ModeL n’a pas choisi la facilité. Là où d’autres empruntent des raccourcis pour accéder aux privilèges, lui, a opté pour la cohérence et la droiture, même lorsque cela impliquait le silence médiatique ou l’incompréhension populaire. Il a bâti son parcours sur des convictions profondes, des idées claires et un engagement constant pour une Guinée plus juste, plus démocratique, plus humaine.
Ses discours, toujours empreints de lucidité et de respect, contraste avec les envolées démagogiques qui polluent notre espace politique. Il parle aux jeunes avec franchise, les appelle à la responsabilité plutôt qu’à la révolte stérile, et les incite à rêver, mais aussi à agir avec méthode et discipline. En cela, il est une source d’inspiration, un modèle qui prouve qu’on peut faire de la politique autrement.
Aliou Bah du ModeL, représente ce que devrait être l’aspiration d’un homme d’État : servir, et non se servir. Dans son combat pour la transparence, l’inclusion, et la refondation éthique de l’action publique, il invite chacun à dépasser les logiques de clan et les calculs à courte vue.
Il n’est pas parfait – aucun homme ne l’est – mais son intégrité, sa constance et son refus du compromis sur les principes font de lui une figure rare dans notre paysage. Une figure qui, loin de diviser, rassemble autour de valeurs universelles : justice, équité, et dignité.
Aliou Bah est une référence, non parce qu’il cherche à l’être, mais parce qu’il vit selon les principes qu’il prône. Et c’est précisément cela qui le rend si nécessaire aujourd’hui.
Boubacar Garki Diallo, journaliste.