Actuellement, la Guinée se distingue par des avancées spectaculaires dans de nombreux domaines socioéconomiques, et il est essentiel de mettre en lumière les figures clés qui nourrissent cette belle dynamique. Parmi elles, le ministre Mourana Soumah se révèle comme une étoile montante, brillant par son rôle crucial et son engagement indéfectible. Sa vision éclairée, alliée à un leadership audacieux, façonne une nouvelle ère pour le pays, promettant un développement harmonieux et durable qui redonne espoir et confiance aux Guinéens.
Il est l’un des architectes de l’image renouvelée du pays. C’est lui qui fait briller la Guinée aux Réunions de Printemps du FMI et de la Banque Mondiale à Washington, où il défend avec passion les intérêts nationaux.
Son charisme et son expertise font de lui une voix influente sur la scène internationale, capable de susciter l’intérêt des bailleurs de fonds et d’attirer des investissements cruciaux.
Sous son impulsion, l’accord de financement de 200 millions USD signé avec le Groupe de la Banque Mondiale pour le Projet Eau et Assainissement de Guinée (PEAG) se révèle être un jalon majeur. Ce montage financier, évalué à 650 millions USD et soutenu par d’autres bailleurs comme la Banque Européenne d’Investissement et l’Union Européenne, témoigne de la solidité du portefeuille guinéen, désormais reconnu parmi les plus performants de la sous-région. Cette initiative ouvre la voie à des discussions prometteuses pour des soutiens budgétaires additionnels et des investissements structurants, notamment avec JONG Capital pour le programme Simandou 2040, qui représente une véritable feuille de route vers un développement durable et inclusif.
Sous la direction visionnaire de Soumah, la délégation guinéenne conclut également un accord de 35,735 millions USD avec le Fonds Koweïtien pour le Développement Économique Arabe, un pas décisif vers la construction de l’échangeur d’Enco 5 à Conakry. Ce projet, essentiel pour fluidifier la circulation dans le Grand Conakry, inclut un majestueux pont autoroutier de 260 mètres et un tunnel à 2×2 voies. En plus de la réhabilitation de 1,5 km de routes, il prévoit des dispositifs de sécurité qui témoignent d’une approche réfléchie et responsable face aux enjeux d’urbanisation croissante.
Parallèlement, la mission guinéenne engage des négociations avec le FMI pour conclure un programme formel d’appui économique, mettant en avant les réformes et résultats obtenus en matière de gouvernance.
Lors des sessions d’échange technique avec la Banque Africaine de Développement, des discussions passionnantes se concentrent sur la valorisation du capital naturel comme levier de croissance durable, une approche stratégique qui vise à intégrer l’environnement dans le développement économique du pays.
Trois ans après l’accession au pouvoir du Comité National du Rassemblement pour le Développement (CNRD), la Guinée se trouve à un tournant décisif dans l’essor de ses infrastructures. À la tête de cette dynamique historique, le président Doumbouya, visionnaire audacieux, place le financement des infrastructures au cœur de son ambitieuse refondation de l’État. Ce soutien déterminant, allié à l’efficacité remarquée du ministre Soumah, propulse la Guinée vers une ère de modernisation tant espérée. En tournant résolument le dos à un passé marqué par le manque d’investissements qui avait freiné son élan, le pays s’engage sur la voie d’un avenir radieux, où chaque projet devient une brique supplémentaire dans la construction d’une nation plus forte et résiliente.
Avec un professionnalisme inébranlable, Soumah rationalise les projets et revitalise les relations avec les partenaires techniques et financiers d’ici et d’ailleurs. Les résultats se matérialisent sur le terrain, avec des projets d’envergure émergeant grâce à leurs efforts conjoints, comme l’échangeur de Kagbelen et la route Coyah-Dabola, essentielles pour désenclaver le pays et stimuler l’économie locale.
En quelques années, la Guinée mobilise des ressources considérables auprès de partenaires bilatéraux et multilatéraux, transformant ainsi la vie quotidienne des Guinéens. Les trajets entre préfectures deviennent plus rapides, et les produits agricoles atteignent plus facilement les marchés, améliorant la qualité de vie de nombreux citoyens. Cette accessibilité accrue ne fait pas que faciliter les échanges économiques. Elle renforce également le tissu social en reliant les communautés et en favorisant des échanges culturels.
Avec une politique économique et financière efficace, le ministre Mourana Soumah contribue, aux côtés du chef de l’État, à poser les bases d’un État capable de répondre aux besoins de ses citoyens. Grâce à un pilotage rigoureux, il garantit que chaque franc investi produit un impact mesurable. Ce niveau de transparence et de responsabilité est essentiel pour restaurer la confiance des citoyens dans leurs institutions.
Le bilan infrastructurel est éloquent : des chantiers ouverts, des partenariats renforcés, et une gouvernance économique et financière améliorée.
Avec Mourana Soumah aux commandes de l’économie et des finances publiques, la Guinée avance avec méthode et conviction. La gouvernance financière se refonde en privilégiant l’action au discours. C’est l’ère de la Guinée des possibles.
Dans le bruit des machines et sous le soleil des chantiers, la nouvelle Guinée se redessine, brique après brique, route après route, rails après rails, offrant aux générations futures un pays plus digne, plus connecté et financièrement plus fort.
Ibrahima Diallo journaliste et écrivain