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Tannerie: Au feu rouge, Col.Ibrahima Kalil Sidibé, ‘’commando’’ brutalise un jeune pour passer

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Ibrahima Kalil Sidibé alias ‘‘Commando’’, ancien patron de l’Escadron mobile N°4, connu pour sa brutalité a encore fait parler de lui. Dans la nuit du mardi 16 novembre, aux environs de 22 heures, cet officier a violemment administré une paire de gifles à un jeune sur moto, au rond-point de la Tannerie.

Selon Ousmane Diallo, victime des coups, l’officier a violé le feu rouge et s’est braqué sur son droit.

« A la tannerie ici j’ai trouvé que le feu de signalisation est sur rouge, j’étais dans l’obligation de m’arrêter pour le respect de la loi, mais aussi du code de la route. Quand le feu est devenu vert j’ai pris le départ. Maintenant il y’a un pick-up avec des gendarmes à bord, qui m’a pris sur mon droit parce que j’avais la priorité de passer. C’était le colonel Commando (Ibrahima Kalil Sidibé NDLR), il descendait vers Cosa. C’est lui qui devrait s’arrêter parce que le feu était rouge chez lui. Il m’a insulté de dégager devant lui, mais comme il y avait un autre véhicule devant moi je ne pouvais pas. C’est ainsi j’ai dit colonel le panneau de signalisation est sur rouge, vous devriez vous arrêter, il m’a dit qu’il s’en fout. Il est descendu à bord de sa voiture et il est venu me gifler deux fois. Comme c’est un corps habillé pour ne pas qu’il me fasse mal et c’est la nuit, j’ai demandé pardon. Il y’a un policier qui est venu prendre sa part qui a même saisi ma moto. C’est une dame qui est intervenue pour moi, après il m’a remis ma moto »,  a-t-il déploré cette attitude du colonel.

Ousmane Diallo, victime d’agression  interpelle les nouvelles autorités à prendre des dispositions car, pour lui, les corps habillés ne sont pas au-dessus de  la loi en Guinée.

Mansaré Naby Moussa 628-030-370

Plainte contre Amadou et Albert Damatang : Le journaliste Mohamed Camara se désiste

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Amadou Damaro Camara, ancien président de l’Assemblée nationale et Damantang Albert Camara ancien, ministre de la Sécurité et de la protection civile, ne comparaitront  finalement pas devant la justice.  Le journaliste Mohamed Camara a retiré sa plainte, suite à une conciliation de Dr Koureissy Condé, président de l’ARENA.

Pour rappel, Amadou Damaro Camara et de Damantang Albert Camara étaient cités à comparaitre devant le TPI de Mafanco, suite à une plainte déposée par le journaliste Mohamed Camara, pour agression lors de la dernière conférence de presse au siège du RPG.

Alhassane Camara

Kindia: dans les oubliettes de la commune, les femmes du secteur Walangni lancent un SOS

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 Les habitants du secteur Walangni dans la commune urbaine de Kindia rencontrent d’énormes difficultés dans leur zone. Manque d’eau potable, d’infrastructures routières et d’ d’enseignants sont entre autres les problèmes auxquels  les citoyens de cette localité sont confrontés.

 « Notre secteur a plusieurs difficultés mais les problèmes qui nous fatiguent de plus c’est le manque d’eau potable parce que nous n’avons pas de pompe chez nous et ceux qui ont des forages ne sont pas nombreux. Ensuite notre route est très dégradée c’est pour cela les conducteurs de taxi moto n’acceptent pas de venir ici la nuit. Pour aller en ville le transport normal c’est 5000 GNF mais avec la dégradation de la route les motards demandent 10.000 GNF surtout vers la soirée. Nous n’avons pas d’école publique ici, et on n’a pas les moyens pour envoyer nos enfants dans les privés. Donc on est obligé d’envoyer nos enfants dans d’autres quartiers comme Manque Pas, Condetta et autres », explique Aminata Sylla, présidente des femmes de la localité.

 Le secteur Walangni a une mosquée mais qui se trouve dans un état de dégradation très poussé. Les musulmans de cette localité sont contraints d’aller prier ailleurs.

Les femmes majoritairement illettrées dans cette localité, pratiquent le maraîchage pour être autonomes. Cependant, elles ne bénéficient d’aucun soutien de la part des autorités pour l’obtention des intrants agricoles.

Notre interlocutrice demande un coup de main de la part des autorités pour sortir les femmes de Walangni de l’ornière.

Hassatou Lamarana Bah

Labé: Le substitut du procureur porte une plainte contre un journaliste pour diffamation

Le substitut du procureur près le tribunal de première instance de Labé, Patrice Koman Koivogui a porté contre Tidiane Diallo, journaliste à la Radio GPP FM Labé.  Il accuse ce dernier de diffamation par voie de presse.

Tout est parti d’un article intitulé le ‘’TPI de Labé : le substitut du procureur est accusé de complicité dans une affaire de 5 mille dollars,  publié sur le site Mediaguinee, dont il est le correspondant régional.

 « En effet c’est un citoyen Guinéen vivant en Gambie qui avait prêté de l’argent à un commerçant. Ce dernier avait disparu. Après 7 ans, il est revenu à Labé il y’a une semaine. Son créancier a porté plainte contre lui à la gendarmerie. Après cinq jours le dossier a été transféré au niveau du parquet. Arrivée là-bas, selon Mamadou Dian, plaignant dans cette affaire, le substitut du procureur a classé le dossier sans suite. Après lui, lorsqu’il était à la gendarmerie un montant de 10 millions a été amené par la famille qui lui devait ces 5 mille dollars, mais vu qu’il n’y avait pas de garantie pour le reste de l’argent, il n’a pas voulu prendre les 10 millions. Donc d’après lui, entre la gendarmerie et la justice les 10 millions ont été pris », a fait savoir Tidiane Diallo journaliste à la Radio GPP FM Labé avant de marteler :

« Et ce que moi j’ai fais, mon rôle de journaliste c’est d’écrire une information ».

Mais bien avant le Dimanche, poursuit le journaliste : « dans l’émission ‘’Womi Wowlou’’ de la Radio GPP FM Labé, on avait demandé au substitut de réagir par rapport à ça, il nous a dit qu’il est à l’église qu’il n’avait pas de temps. Donc c’était prévu qu’il réagisse hier Lundi, il n’a pas eu le temps d’après lui qu’il y avait des audiences. C’était prévu ce Mardi qu’il réagisse, mais comme moi j’avais déjà l’information j’ai écrit l’article », se défend le journaliste.

« Si le substitut trouve que ces acquisitions portées contre lui ne sont pas fondées, qu’il donne sa version des faits, je m’attendais à ça, qu’il demandent un droit de réponse. Mais ce matin on porte plainte, on est parti à la gendarmerie, après plusieurs heures Patrice dit qu’il veut maintenant qu’on fasse des auditions », a-t-il déploré.

A noter que ces auditions sont prévues ce Mercredi 17 Novembre 2021, à la gendarmerie de brigade de recherche de Labé.

De Labé, Boubacar Garki Diallo pour Kalenews

626 98 52 52

Labé : Après la suspension des immatriculations, les conducteurs de taxi espèrent une réduction du prix

Depuis le jeudi 11 Novembre 2021, le Ministère des infrastructures et des transports a suspendu la délivrance des plaques d’immatriculations par l’entreprise de DSD. A Labé cette décision est saluée par les détenteurs d’engins roulants. C’est le cas de Hamid Barry, conducteur de moto taxi qui espère une réduction de prix après cette suspension.

« J’ai la joie d’avoir appris la suspension de la distribution des nouvelles plaques d’immatriculations. Nous sollicitons également une réduction avant de reprendre la distribution. Je ne dirai pas d’arrêter définitivement mais de voir vraiment un prix qui est abordable pour satisfaire la clientèle », a dit Hamid Barry.

Alimou Diallo, un autre conducteur ajoute « Nous sommes très contents. Ils ont pris la bonne décision. Ces nouvelles plaques d’immatriculation sont très coûteuses, c’est eux même qui nous ont vendu les anciennes plaques. Nous sollicitons auprès de la nouvelle autorité de revoir le prix de ces nouvelles plaques ».

Dans la foulé Amadou Korka Sow, un autre conducteur renchérit en ces termes « actuellement il n’y a pas de marché avant de reprendre la distribution de diminuer le prix soit à 200 000 GNF ou bien 300 000 GNF ».

A noter que cette décision fait suite à l’exécution de la mesure conservatoire recommandée par l’autorité de régulation des marchés publics. Pour le moment aucune date n’a été fixée par les autorités quant à la reprise de cette opération.

De Labé, Boubacar Garki DIALLO pour Kalenews

626 98 52 52 

Elim mondial 2022 : le Syli termine sur une défaite contre le Maroc

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La Guinée clôture sa campagne des éliminatoires de la coupe du monde 2022 par une autre défaite. Ce mardi, le Syli s’est une nouvelle fois incliné face au Maroc à Rabat en marge de la 6e et dernière journée de ces éliminatoires 3-0.

Dans cette partie, Kaba Diawara et ses poulains ont été rapidement malmenés par les marocains. Sur un doublé de Ryan Mamaee, les Lions de l’Atlas se sont vite mis à l’abri en première période. Au retour des vestiaires, Ayoub El Kaabi va sceller la victoire marocaine en inscrivant le troisième but. Impuissant, le Syli va tenter de réduire la marque mais Aguibou Camara et ses partenaires ne trouveront jamais la faille.

Avec cette autre défaite, le Syli boucle les éliminatoires sur une mauvaise note avec un bilan catastrophique. En six journées, la Guinée n’a enregistré aucune victoire et termine à la 3e place du groupe I avec 4 points ( 4 nuls, 2 défaites).

Yagouba Diallo

Labé/Tougué : Une grenade explose dans les mains d’un adolescent de 14 ans

Dans la soirée de ce Lundi 15 novembre 2021, un adolescent de 14 ans a été blessé par une grenade dans la sous-préfecture réfecture de Koïn, préfecture de Tougué. Selon les informations reçues auprès des autorités locales, la victime jouait avec la grenade qu’il a découverte sous un arbre, avant de déclencher l’engin explosif qui a emporté une bonne partie de ses membres supérieurs.

Interrogé par notre correspondant. Alpha Oumar Tonbon Baldé, sous-préfet explique les faits « C’est un enfant de 6 ans qui a découvert une grenade déposée sous un arbre et l’a emballée dans un plastique. Il a pris l’engin et par curiosité un autre plus âgé que lui, âgé de 14 ans est venu retirer de force la grenade entre ses main. Dans son maniement, ce dernier a déclenché, mais pour un départ l’engin n’avait pas explosé. Comme cela ne suffisait pas, il a pris un bouquet qu’il a allumé pour mettre en contact avec la grenade qui a fini par exploser entre les mains de l’enfant», explique le sous-préfet.

« Heureusement ces autres collègues avaient pris la fuite au moment de l’explosion. Toute ses deux mains ont été touchés».

L’enfant de 6 ans qui a ramassé l’engin et son père ont été arrêtés par les services de la gendarmerie de Tougué. Aux dernières nouvelles, l’enfant a été libéré mais son père est à la disposition des services de sécurité.

« Il faut souligner que l’endroit où cet engin explosif a été découvert est beaucoup fréquenté par des véhicule de transport en commun surtout le jour du marché hebdomadaire. Il se peut que ça soit quelqu’un de passage qui a gardé cet objet ici mais comme l’enquête a été ouverte par la gendarmerie de Tougué, on s’aura d’avantage dans les prochains jours », a fait savoir le sous-préfet de Koin.

Quant à la victime, elle a été transportée d’urgence à l’hôpital régional de Labé pour des soins.

A noter que ce n’est pas la première fois qu’une grenade fait des victimes dans la commune urbaine de Labé. Pour rappeler une grenade avait explosé à Djonga faisant trois victimes.

De Labé, Boubacar Garki DIALLO pour Kalenews

626 98 52 52

Interview avec la presse locale : Là où col.Doumbouya a été hors sujet

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Lors de son interview qu’il a accordée à la presse locale, le colonel Mamady Doumbouya est parti hors sujet face à une question qui lui a été posée par le journaliste Aboubacar Diallo. Visiblement, Colonel Mamady Doumbouya est hostile aux acteurs politiques. Une question qui portait sur la mésentente de toutes les structures de la Transition dans la répartition des quotas qui leur sont attribués, le président du CNRD s’est plutôt défoulé contre les partis politiques.

Journaliste : Cette charte justement M. le président prévoit les organes de la transition, parmi lesquels il y’a le CNT, on tend vers sa mise en place. Le processus de désignation des représentants des différentes structures devant aller au sein du Conseil National de la Transition, ce processus est enclenché avec le ministre de l’administration du territoire, mais le quota attribué à certaines structures semble faire débat. C’est le cas des partis politiques. Quel commentaire vous avez à ce sujet M.le président ?

Colonel Mamady Doumbouya: La république de Guinée n’est pas juste liée aux politiques. Je pense que vous avez les composantes de la société civile, bien attendu. Nous avons les religieux. Si vous regardez bien la charte de la transition, vous allez retrouver toutes les filles et fils dedans, mais je pense qu’on ne doit plus se focaliser uniquement que sur la composante politique. La Guinée n’a pas de problème sociologique. Vous savez que notre problème est uniquement politique. Et le CNRD, entend bien par ma voix, dit à tous les Guinéens que nous sommes tous ensemble. Il y a pas que les politiques en Guinée. Il y a d’autres Guinéens aussi qui ont leurs mots à dire.

En fait, la question du journaliste concerne le processus de désignation des représentants des différentes structures et les quotas qui leur sont attribués. Ce processus suscite des controverses entre les membres des différentes structures et les quotas sont jugés petits. Ce n’est pas que les politiques. Le cas des politiques a été pris pour exemple. Le constat est le même chez les religieux qui demandent deux places supplémentaires, au niveau de la presse où le syndicat et les patrons de la presse peinent à s’attendre; chez les hommes de culture, les acteurs de la société civile etc…

Kalil Camara, journaliste chroniqueur à la radio Nostalgie Guinée

Sortie médiatique du Colonel Mamady Doumbouya sur RFI : Voici ce qu’en pense Ansoumane Fofana Ouzby

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Nous sommes à l’école de l’attente et de l’observation, pour ce chapitre de la vie de notre pays la Guinée, et de son histoire.
Dans cette observation, que nous enseigne cette école ?

L’attente nous apprend que le désespoir est impossible et que, devant l’impossible, on ne peut réussir ni échouer.
Cette transition, que dirige le Colonel, ne peut donner aux guinéens l’échec. Le champ lexical est vraiment rassurant.

Chacun en ce qui le concerne, malgré l’enchantement et le désenchantement qui mixent nos émois, nous devons faire table rase des individualismes pour penser en GUINÉEN NOUVEAU.

La Guinée est devant l’impossibilité de l’échec.
L’échec est la fille aînée du désespoir que l’enchantement de la Guinée ne peut épouser !
Par l’action nationaliste, seul le maintient, le désir assez pur du travail, soustrait du discours politique peut nous défait de l’échec.

Vive l’espoir pour que,
Vive la République

Ansoumane Fofana
Président du Parti Républicaine pour le Renouveau (PRR)

Recalé pour usage d’un faux diplôme, le candidat de Dubreka se dit victime de corruption

Recalé pour faux et usage  des faux documents, au concours organisé à Kindia entre les jeunes de la Basse Guinée, désirant siéger au Conseil National de la Transition (CNT), Ibrahima Sory Camara se déclare victime d’une corruption de la part de l’inspection de la jeunesse et du Directeur préfectoral de la jeunesse de Dubreka. Il accuse ses deux de lui avoir exigé 20 millions malgré qu’il ait franchi toutes les épreuves du concours.

«  C’est vraiment une désolation pour moi, parce que je ne peux pas comprendre jusqu’à maintenant on fait la promotion de la médiocrité dans ce Pays. En aucun cas moi j’ai été disqualifié au concours à Kindia. Je suis venu à Kindia avec un dossier, il y’a une commission qui a travaillé sur l’ensemble des dossiers. Il y’a eu huit (08) dossiers pour toutes la Basse Côte. Sur les huit dossiers, il y’a un candidat qui n’a pas répondu. Donc il y’a sept (7) dossiers qui ont été retenus. Ce sont les sept dossiers-là qui ont été dépouillés par une commission mise en place par l’inspection générale de la jeunesse. Les sept dossiers, il y’a eu un dossier qui a été recalé, un dossier de Kindia. Selon la commission, ce dossier ne contenait pas tous les éléments. Mon dossier a été qualifié au concours », a-t-il fait savoir.

Pour son cas, Ibrahima Sory précise : « J’ai fait l’institut qu’on a appelé « Num Tech », un institut privé qui a existé à Coyah dans la zone de Kountia à CBA de 2009 à 2012. Si l’institut existe jusqu’à maintenant je ne sais pas, moi c’est le diplôme là que j’ai déposé dans mes dossiers. Mais je ne peut pas comprendre qu’on attende jusqu’à la fin, je remporte la finale et on me dit que mon diplôme n’est pas valable, pendant qu’il y’a une commission qui a travaillé sur mon dossier», déplore Camara Ibrahima Sory, membre du collectif des associations de Dubréka, chef CECOSE de Dubréka.

Sur le déroulement du concours, «On vient, on fait le concours. Le test écrit je sors vainqueur. On n’était six (6) candidats, les cinq candidats chacun a eu 0/10 en dictée, moi j’ai eu 8/10. On m’a ensuite dit de passer en oral avec le gars de Kindia qui avait fait 10 fautes. Le lendemain on est venu en oral, après le jury est revenu donner les résultats, dire que je suis sorti vainqueur avec une moyenne de 13,74 contre 13,50 pour Salif Sylla».

A l’en croire, c’est après la sortie des résultats que les magouilles ont commencé.

«C’est suite à ces résultats que l’inspecteur revient dire que mon dossier contiendrait des anomalies. J’ai dit au DPJ, je ne comprends ce qu’ils veulent? Après le DPJ revient me voir qu’il y’a une plainte qu’on a déposée contre lui, pas moi. Et 30 minutes après, le même DPJ vient me voir pour me dire que la plainte n’est pas orientée contre lui mais que c’est contre moi à cause de mon diplôme. Une plainte que je n’ai jamais vue. Je lui ai dit: allons voir l’inspecteur je veux avoir un échange avec lui. Il n’a pas accepté. Maintenant moi je rentre à mon hôtel, aux environs de 2h à 3h du matin, il vient taper à ma porte, il rentre me voir avec des papiers. Il me dit que la plainte qu’on a portée contre moi est allée loin, est sur la table du procureur, qu’il y’a un mandat qui doit sortir et qu’ils doivent venir m’arrêter aux environs de 4h à 5h du matin. Il dit ensuite, qu’il est allé voir l’inspecteur de lui donner un temps pour venir me voir pour que je puisse faire une lettre de démission pour empêcher mon arrestation le matin. Je lui ai dit que je ne peux pas le faire», a-t-il notifié.

 Mais avant cela, poursuit Ibrahima Sory Camara: « quand les résultats finaux sont sortis, on est rentré à la maison, il est venu me dire que l’inspecteur lui aurait demandé 20 millions à payer. Je lui ai demandé pourquoi payer 20 millions? Au cours de nos discussions, il me dit que le nommé Salif Sylla a proposé 50 millions à l’inspecteur. Le lendemain lundi, je suis resté jusqu’à 11h je n’ai vu aucune plainte. J’ai pris ma valise en lui disant: allons à Dubréka. In me dit non qu’il ne peut pas rentrer, qu’il doit se voir avec l’inspecteur. C’est ainsi moi je suis rentré à Dubréka », a-t-il révélé.

Ibrahima Sory Camara reconnaît le certificat exposé à la presse par le DPJ, mais il dit avoir déposé son diplôme comme exigé pour le concours au CNT à Kindia. Sauf que toutes nos tentatives vers lui pour avoir la copie de ce diplôme sont restées vaines.

Mansaré Naby Moussa 628-030-370