Un célèbre dicton africain dit : il est très moins sage et imprudent de sous-estimer son adversaire non affronté. Cette leçon, le président des États-Unis d’Amérique l’a pas bien apprise, ou même qu’il ne l’a guère apprise. C’est peut-être la raison principale qui lui a convaincu dans sa conviction intérieure être en mesure de marcher sans trébuchement aucun sur l’état Islamique d’Iran d’Ayatollah Ali Khamenei.
Mais en toute évidence, le républicain président des USA s’est vite empressé de déclarer victoire contre Ayatollah Khamenei, alorsque la réalité du terrain est tout autre, il a dû certainement oublier que le monde n’est plus ce qu’il était, ridicule de rappeler que dorénavant tout le monde sait penser, sait agir, sait analyser et sait se munir de ce qui fait sa défense et sa sécurité, en bref plus personne n’est dans l’obscurité de l’aveuglette.
Il est facile de faire une annonce peu véridique mais le soutenir est une mer à boire.
C’est exactement ce phénomène qui s’est produit après les frappes américaines sur l’Iran. Trump croyait que les uns et les autres ne sauraient pas faire une analyse lucide de la situation et se rendre compte que le succès proclamé de son opération a été plutôt un échec total.
En réalité les installations nucléaire Iranienne n’ont été aucunement touché, comme d’ailleurs l’ont mentionné plusieurs médias crédible dans leurs journaux.
En définitif, quand Monsieur Trump a finalement compris que ce n’est plus un secret pour personne, que l’état Islamique d’Iran était sur le chemin de s’en sortir grand dans cette histoire, il n’a pas tardé de déclarer un cessez-le-feu, puisque ce n’est ni l’amour de la paix, ni moins la pitié humaine qui l’ont poussé à aller dans ce sens d’apaisement, mais qu’il s’est tout simplement rendu compte que l’éléphant d’hier peut être la fourmi d’aujourd’hui. Demain est toujours une surprise.

Mouhammad Yéro guinéen