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Décrets : Col. Mamady Doumbouya nomme 4 chefs de cabinets dont 3 femmes aux Ministères…

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Le président de la Transition poursuit ses nominations dans les départements ministériels. Dans ses décrets publiés au JO tard dans la nuit du jeudi, Colonel Mamady Doumbouya a nommé 4 chefs de Cabinet dont 3 femmes. Il s’agit de :       

Mme Fatoumata Bangoura, précédemment cheffe de cabinet du Ministère de l’industrie, des Petites et Moyennes Entreprises, est nommée cheffe de cabinet au Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage ;

Mme Ramatoulaye Camara, précédemment cheffe de Cabinet du Ministère des droits et de l’Autonomisation des femmes est nommée Ministère du Travail et de la Fonction publique ;

Mme Nimah Bah, précédemment conseillère chargée de mission de Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la recherche Scientifiqu,e est nommée cheffe de cabinet au Ministère de l’énergie, de l’hydraulique et des hydrocarbures ;

M. François Gono Condé, précédemment conseiller politique à l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique en Guinée, est nommé chef de Cabinet Ministère de l’Administration du territoire et de la décentralisation.

Guinée : De janvier à décembre, 131 cas de viol enregistrés par la BSPPV

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Après l’OPROGEM qui a rendu un rapport alarmant sur des agressions sexuelles, la Brigade Spéciale de la Protection civile et des personnes vulnérables(BSPPV) dresse son rapport. Du mois de janvier jusqu’à ce jeudi 9 décembre 2021, cette brigade a enregistré 131 cas de viol dont 85 cas sur mineurs.

C’est ce qu’a annoncé Adjudant-chef Diallo Theirno Hamidou Commandant adjoint de la BSPPV.

« Depuis le 1er janvier jusque-là où nous en sommes, nous avons reçu 131 cas de viol dont de 0 à 13 ans, nous avons reçu 85 cas, de 13 à 18 ans 37 cas, de 18 ans à plus nous avons reçu 9 cas, le tout qui fait 131 cas. Dans ces 131, nous avons eu à déférer 41 cas devant les différents tribunaux de Conakry et les 90 autres cas sont en cours » annonce-t-il.

Malgré les campagnes de sensibilisation et de dénonciation des ONG, pour protéger cette couche vulnérable, la brigade rencontre quelques difficultés « nous avons des difficultés, parce que le violeur n’est pas loin. Le plus souvent c’est un membre de la famille ou un voisin, donc dans certains cas quand le viol est consommé, les parents n’acceptent pas de porter plainte à la police ou à la gendarmerie. Ils préfèrent régler entre eux, ce qui fait que nous ne sommes pas au courant. Il y a d’autres cas c’est le poids des religieux qui viennent interférer dans les dossiers, ils n’acceptent pas que les plaintes soient assimilés vers nous et cela complique la tâche. Lorsqu’un dossier de viol arrive, nous l’étudions ensuite on défère le violeur même si la partie victime désiste, la loi nous permet de poursuivre cette personne et le déférer devant les tribunaux » précise-t-il.

Pour freiner ce fléau, l’adjudant-chef Diallo Theirno Hamidou invite les parents à dénoncer les cas de viol.

Hassatou Lamarana Bah

Nzérékoré : les boulangers sommés de respecter le poids du pain

500g c’est poids normal d’un pain. Le président de la chambre régionale de commerce de N’zérékoré tape le point sur la table contre les boulangers qui ne respecteront pas cette réglementation. Pour Makan Camara, tout boulanger qui ne respectera pas le poids de la baguette du pain à 500g verra sa boulangerie fermée. Il l’a fait savoir au cours  d’un entretien qu’il a accordé à notre rédaction.

« Cette fois-ci c’est l’État qui a fixé le prix de la baguette donc c’est officiel. Chacun doit respecter ce prix. Personne ne doit ajouter quelque chose la dessus. Dans la région forestière je crois que ça sera fait. J’ai convoqué aujourd’hui une réunion des représentants des boulangers et des présidents des différentes chambres préfectorales pour leur mettre en garde de contrôler le poids de la baguette. Ça doit être 500g. Il faut que cela soit respecter dans toute la région. Je leur ai dit de veuillez là-dessus. Je suis sûr et certain que le prix de la miche est vraiment respecté dans les préfectures de la région de N’zérékoré. J’ai ai mis en garde.  Toute personne qui ne respectera f pas cette décision, on procédera à la fermeture de sa boulangerie jusqu’à nouvel ordre » a-t-il martelé .

Interrogé le vice-président des boulangers de la région de N’zérékoré Mamadou Tanou Diallo dit être prêt à respecter le poids comme convenu.

« Nous sommes prêts à respecter le poids de la baguette du pain à 500g.On fera tout pour respecter ce que disent des autorités. Vous savez quand le pain est pâte ça pèse 500g, mais si c’est brûlé ça pèse 350g c’est la baguette de 4500 GNF. Quant à la baguette de 2250 GNF  en pâte ça pèse 200g, mais si c’est brûlé c’est 127g. A la boulangerie on vend à 4000 GNF  en gros, en détail on vend à 4500 GNF.  Le prix est respecté donc le poids aussi sera strictement respecté »  dit-il.

De N’Zérékoré,  Gilbert Yoma Neyo Tinguiano correspondant régional Kalenews.org

N’zérékoré : les autorités  déterminées à lutter contre les produits commerciaux  de mauvaise qualité

L’inspecteur régional du commerce, de l’industrie et des PME, Amadou Kouyaté, va livrer une bataille
contre les marchands des produits locaux (cacao, café) de mauvaise qualité destinés à la vente dans les grandes villes comme Conakry, la capitale.

Ce jeudi 9 décembre, il a invité les commerçants à un changement de comportements afin d’éviter de mettre la vie des consommateurs en danger.

Dans un communiqué dont notre rédaction detient copie Amadou Kouyaté n’a pas manqué de signaler que tout contrevenant à cette mesure sera puni par les règlements en vigueur.


A lire dans le communiqué si dessous

Dabola : Des ONG dans les rues pour dénoncer le viol et le laxisme de la justice

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Plusieurs ONG en synergie (ONG ASED, ONG IJDDEF, Association AJCVG CLUBS des  Filles leaders) ont marché  dans les rues de Dabola ce jeudi 09 décembre pour manifester contre le Viol et dénoncer le laxisme de la justice face à ces agressions sexuelles. La marche est partie de la maison des Jeunes jusqu’à la résidence du préfet.

Cette sortie des enfants, Hommes, femmes et jeunes vêtus en T-shirt rouge dans les rues de Dabola, est motivée par le laxisme de la justice face aux infractions sexuelles dont les enfants sont les plus touchées, indique Mohamed Diallo, responsable de l’ONG Protection de l’Enfant et de la Femme.

« Nous avons manifesté contre la maltraitance mais plus spécifiquement les cas de viol qui sévissent dans notre préfecture. Les ONG de la Protection de l’Enfance et de la Femme ont enregistré au moins 12 cas de viol. Et tous les cas qui ont été identifiés, instruits, il n y a pas eu de jugement ni de condamnation. Et le plus marrant parfois le laxisme donne l’occasion aux acteurs de mettre la pression sociale sur les victimes qui se désistent en fin sans tenir compte de la situation des victimes », a-t-il martelé.

Ces ONG ont constitué un pool d’avocats pour défendre les victimes d’atteinte sexuelle.

 « Nous comptons mener le combat parce que tant que les victimes ne sont pas rétablies dans leurs droits, ça reste un idéal qu’il faut vraiment atteindre. Donc nous continuons notre combat. Et de l’autre côté nous avons consulté nos différents avocats pour pouvoir défendre réellement le droit de ces enfants », annonce cet activiste.

 Il faut signaler qu’il y avait eu d’autres manifestations contre les viols à l’intérieur du pays.

Alhassane Camara

Macky Sall: «Nous ne pouvons pas accepter les coups d’État»

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Le président sénégalais Macky Sall est notre invité sur les antennes de RFI et France 24. Situation sécuritaire sur le continent, coups d’État au Mali et en Guinée, débat sur la question des mandats présidentiels, climat politique au Sénégal… Macky Sall, qui prendra la présidence de l’Union africaine en février prochain, répond aux questions de Charlotte Idrac (RFI) et Marc Perelman (France 24).

RFI : Vous vous apprêtez à prendre la présidence tournante de l’Union africaine, lors du Forum sur la paix et la sécurité qui vient de se tenir ici à Dakar, le président de la Commission de l’Union africaine a eu des mots sombres, il a affirmé que l’heure est grave, que jamais l’Afrique n’a été tant menacée. Est-ce que vous partagez ses inquiétudes ?

Macky Sall : Hélas, je partage ses inquiétudes, au plan de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme, le continent est aujourd’hui métastasé, d’abord dans le Sahel, dans le Bassin du Lac Tchad, Boko Haram, dans la corne de l’Afrique, en Centrafrique et même au Mozambique, et plus grave aujourd’hui, la lutte du Sahel est en train d’atteindre la côte océanique. Alors si l’on considère donc les conflits intérieurs, les coups d’Etat en Afrique de l’Ouest, nous avons deux pays qui ont été frappés, le Mali, la Guinée, en plus ce qui se passe au Soudan, la crise en Ethiopie, on voit qu’il y a quand même un tableau assez préoccupant.

Vous l’évoquiez, la menace jihadiste est aux portes du Sénégal, est-ce que vous craignez que votre pays soit la prochaine cible ?

Vous savez, mon pays comme tous les autres pays sont des cibles, mais nous sommes préparés à faire face quoi que cela puisse nous coûter.

Mais concrètement, est-ce qu’il y a eu des tentatives d’infiltration à la frontière avec le Mali, voire des tentatives d’attentat déjouées sur le sol sénégalais ?

Non, des attentats non, je ne dirais pas ça, il y a parfois des fausses alertes, mais ce qui est sûr, c’est que nous saurons être résilients pour défendre notre territoire national.

Il y a un élément nouveau, qui semble arriver au Mali, c’est la société de sécurité russe Wagner, pour Paris c’est « inacceptable », pour votre homologue ivoirien Alassane Ouattara ce serait un « suicide ». Est-ce que si cette société Wagner s’implante au Mali, c’est une ligne rouge pour vous ?

La sécurité se défend au niveau des États, ça c’est un principe. Mais il est clair que l’apparition d’une société privée va compliquer la situation du Mali. Le risque c’est de voir partir les forces françaises déjà, les forces européennes, c’est de voir aussi peut-être d’autres mesures prises, ce qui va entrainer nécessairement une dégradation très grave de la situation dans le Sahel.

Sur la plan politique, les autorités maliennes de transition ont déjà indiqué que les élections de février seraient reportées, malgré les avertissements de le Cédéao qui tient un nouveau sommet là ce dimanche. Demandez-vous des sanctions supplémentaires ?

Nous, nous disons que c’est en février les élections, s’ils nous donnent des arguments qui tiennent la route, nous devons pouvoir les accepter, si ils ne donnent pas d’arguments, nous en tirerons les conséquences, nous ne pouvons pas accepter que dans cette partie de l’Afrique des militaires prennent le pouvoir par les armes, ça ce n’est pas acceptable.

Ici au Sénégal le débat sur les mandats présidentiels agite aussi la classe politique, certains estiment que vous n’avez pas le droit de vous présenter à nouveau lors des prochaines élections prévues en 2024, est-ce que vous de votre point de vue, vous auriez le droit de vous présenter à nouveau ?

Ce débat, je le traiterai en temps voulu et les Sénégalais seront édifiés, ce qui est sûr c’est que je ne ferai jamais un acte qui soit anti-démocratique ou anticonstitutionnel. Maintenant je déciderai de parler quand le moment sera venu, pas maintenant, parce que si je dis « oui je veux être candidat » le débat va enfler, on ne va plus travailler, et donc il y aura de la matière pour les spécialistes de la manipulation, de l’agitation, si je dis « non », dans mon propre camp vous savez les gens ne travailleront plus non plus, tout le monde sera dans une dynamique tout de suite de se préparer pour l’élection, or, j’ai un mandat à exercer, je dois travailler pour le Sénégal donc je ne peux pas à trois ans, quatre ans de l’échéance satisfaire simplement la curiosité de ceux qui n’ont de centre d’intérêt que l’élection, ils attendront le moment que j’ai choisi ou le moment en tout cas pendant lequel ce débat va être inévitable.

Aujourd’hui c’est plutôt oui ou plutôt non ?

Non, aujourd’hui il n’y a pas de réponse, aujourd’hui c’est le travail.

Vous souhaitez rétablir le poste de Premier ministre que vous aviez supprimé en 2019, est-ce que cette décision finalement a été une erreur à l’époque ?

Je ne le pense pas, moi j’avais voulu en 2019 tester la gouvernance directe, aujourd’hui avec le recul et avec mes charges qui vont arriver et ce mandat de l’Union africaine, je compte le prendre à bras-le-corps, il va beaucoup me prendre de temps donc un Premier ministre dans ces conditions me parait être tout à fait rationnel.

Et à quel moment sera-t-il nommé ?

Il sera nommé après les locales.

Est-ce que vous l’avez déjà choisi ?

Certainement, dans la tête, mais vous savez tant que le décret n’est pas signé, rien n’est fait.

Avec RFI et France24

Accusé d’agression sexuelle, Pierre Menès placé en garde à vue

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L’ex-chroniqueur vedette de Canal+ Pierre Ménès, visé par une enquête pour agression sexuelle, a été placé jeudi en garde à vue, selon des sources proches du dossier, confirmant une information du Parisien.

Comme indiqué par Le Parisien et confirmé par des sources concordantes à BFM TV, Pierre Menès a été placé en garde à vue ce jeudi matin, dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte le 20 novembre dernier pour agression sexuelle. Les faits reprochés se seraient déroulés au Parc des Princes, lors de la rencontre de Ligue 1 entre le PSG et le FC Nantes.

Pierre Menès est entendu « à la demande du parquet » ce jeudi au 1er district de police judiciare (1er DPJ), dans le 17ème arrondissement. Ces derniers jours, l’ancien chroniqueur de Canal + avait demandé à être entendu par les enquêteurs. Me Arash Derambarsh, son avocat, indiquait alors que l’audition devrait avoir lieu ce jeudi 9 décembre.

L’enquête a été lancée après le signalement d’une hôtesse du Parc des Princes, où Pierre Menès assistait à la rencontre entre le PSG et Nantes. La jeune femme a affirmé que Pierre Menès lui avait touché les seins dans la loge. Le parquet de Paris a ouvert une enquête de flagrance, même si aucune plainte n’a été déposée. L’homme de 58 ans a déposé plainte ensuite pour dénonciation calomnieuse.

Selon la version de l’accusé, cinq témoins étaient présents au moment des faits et n’ont rien remarqué. « Je suis choquée, sachant que j’étais là, que mes amis étaient là, qu’on n’a rien vu, que rien ne s’est passé de toute façon, s’était confiée Camille, l’une des témoins, pour BFM TV. J’étais toujours là avec lui, à sa droite ou à sa gauche. C’était la première fois, depuis qu’on se connait, qu’on allait au match ensemble. J’étais contente d’assister à un match avec lui. Entendre ces allégations… Je ne comprends pas. Je ne comprends pas à quel moment ça a pu se passer, j’étais toujours avec lui. Cela n’a pas eu lieu, j’en suis convaincue parce que j’étais là. »

Pour rappel, Pierre Menès a été écarté de Canal + au printemps dernier, visé dans le documentaire « Je ne suis pas une salope, je suis journaliste », diffusé sur la chaîne cryptée et réalisée par Marie Portolano, son ancienne collègue. L’ancien chroniqueur a lancé ces dernières semaines sa propre plateforme.

Avec Bfmtv

Elections: Le GOHA pourrait lancer une abstention si ses victimes ne sont pas dédommagées

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Le président du Groupe Organisé des Hommes d’Affaires (GOHA), s’est exprimé ce jeudi 09 décembre sur la question de dédommagement des opérateurs économiques, victimes de pillages et destruction des biens pendant les violences politiques en Guinée. Mohamed Chérif Abdallah estime que les politiques guinéens ne prêtent pas d’attention à leurs préjudices.

« J’ai l’impression que les politiciens ne nous aident pas, parce que les commerçants ont été tous victimes suite à des évènements politiques. J’ai l’impression que les politiciens ne prêtent pas beaucoup attention à ce fait. On parle de tout sauf les commerçants victimes de destruction de leurs biens et ça ne peut pas marcher. Donc lorsque je suis revenu du Sénégal, nous avons rencontré le colonel Doumbouya au palais, juste après j’ai fait un rapport et j’ai souligné les commerçants victimes de destruction de biens. Mais c’est un gouvernement de transition, le CNRD est là il faut les aider, il faut les accompagner », a-t-il déclaré.

C’est pourquoi, le président du GOHA martèle: « Et je pense que tout gouvernement qui va venir éventuellement, si il ne parlera pas de dédommager directement les opérateurs économiques, vous pensez que nous on ne peut pas donner des consignes de ne pas voter pour la personne? Ils ont besoin de nous et c’est eux qui ont besoin de nous. On peut dire aux opérateurs économiques celui qui ne prend pas l’engagement de vous dédommager ne voter pas pour lui, qui qu’il soit ».

Mansaré Naby Moussa a

Guinée: Le manager de Grand P se confond en excuses, après sa publication offensante

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Alpha Sylla, manager de Grand P a partagé une publication dans laquelle  plusieurs scandales sexuels  mettant en cause l’ethnie  peulh sont énumérés. Cette publication a provoqué une indignation totale sur les réseaux sociaux.

Appelé dans l’émission les Grands Gueules, le manager de l’artiste Grand P a présenté des excuses publiques.

« Je ne suis pas l’auteur de la publication, j’ai juste partagé la publication d’un certain Yacine Diallo. Et mon intention ce n’était pas de faire du mal. Je suis entourée par des frères peulhs. Ma marâtre est peulh, mon homonyme est peulh…», précise-t-il avant de poursuivre.

« Je m’incline à genoux et je demande pardon à la Guinée et aux personnes qui ont été vexées par mes propos. Je demande de m’excuser. Je ne ferai plus jamais ça ».

Il faut signaler que plusieurs internautes rejettent ses excuses qu’il avait déjà présentées sur sa page quelques minutes après le partage de la publication blessante.

Fode Bangoura

Conakry/Yimbaya: Un imam enceinte une fille de 14 ans après lui avoir promis le mariage

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L’acte s’est passé à Yimbaya Tannerie, dans la commune de Matoto. Une fille de 14 ans est enceinte de trois mois une semaine. Un imam est l’auteur de cette grossesse.   Cet imam a entretenu des relations sexuelles avec la fillette dans la mosquée où il est en fonction. Selon la mère de la victime, l’imam a berné sa fille en lui promettant le mariage.

 « Elle a été violée par notre imam. Il a berné ma fille soi-disant qu’il va l’épouser, que si ma fille est prête pour le mariage.  Il lui a fait beaucoup de promesses et après il a profité d’elle à la mosquée  et il l’a déflorée. C’est suite en cela elle est tombée enceinte », a-t-elle dénoncé.

« Je demande justice pour ma fille. Ma fille n’est qu’une gamine. Elle n’a que 14 ans », exige  la mère de la fillette.

Le présumé auteur est à la disposition de la Direction Nationale de la Police Judiciaire.

Alhassane Camara