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Caisse nationale de sécurité sociale : Malick Sankhon limogé

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Le directeur de la caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), Malick Sankhon a été démis de ses fonctions mardi 14 décembre 2021, par un décret du président de la transition Colonel Mamadi Doumbouya, lu sur les ondes des médias de l’Etat.

Il a été remplacé par M. Bakary Sylla, précédemment conseiller spécial à la Primature.

Alpha Mamadou Bobo Baldé

Guinée: Les gérants des hôtels, motels, auberges sommés à se faire enregistrer

Dans un communiqué lu dans la nuit du mardi 14 décembre à la télévision nationale, Le Ministre de la culture, du tourisme et de l’artisanat invite les gérants  des hôtels, des  motels, des auberges, des appartements meublés et des pensions des 6 communes de la capitale de Conakry et des préfectures de Coyah et de Dubréka, à se faire identifier ou se faire  enregistrer à la Direction nationale du tourisme et de l’hôtellerie sise à Boulbinet dans la commune de Kaloum.

Les concernés doivent être munis des documents dossiers ci-après:

1- Une copie du permis technique d’exploitation pour des établissements existants ;

2- Une copie du certificat d’immatriculation au registre du commerce et du crédit mobilier ;

3- Une copie de la pièce d’identité du gérant ou de l’exploitant ;

4- Deux photos d’identité ;

5- Une copie du titre de propriété ou de contrat de bail commercial validée une année au moins

À noter que, la date limite d’enregistrement est fixé au 14 janvier 2022, passer ce délai, tout établissement non identifié sera fermé et le promoteur poursuivi, conformément à la loi.

Mansaré Naby Moussa 628-030-370

100 jours du CNRD : Quel est le regard de Dr Faya Millimono ?

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100 Jours après la prise du pouvoir par le CNRD, des acteurs politiques réagissent sur le premier bilan de l’équipe du colonel Mamadi Doumbouya. Joint au téléphone par notre rédaction ce Mardi, Dr Faya Millimono président du Bloc Libéral est revenu sur les actions fortes posées par le CNRD durant ces 100 premiers jours.

« Pour mieux parler du bilan du CNRD il faut brièvement decrire la situation dans laquelle le pays était, il faut rappeler que les frontières avec nos voisins étaient fermés, il faut rappeler qu’il y’avait plusieurs prisonniers politiques, il faut rappeler que beaucoup de nos compatriotes n’avaient pas la liberté de mouvement, il y avait une augmentation du coût de la vie dûe à la hausse du prix du carburant et depuis il faut reconnaître qu’aujourd’hui nous avons renouer le contact avec nos voisins, chacun a la liberté de mouvement et il ya eu des concertations qui ont été organisées et qui ont débouchées à l’élaboration d’une charte de la période transitoire. Le gouvernement a été mis en place, l’administration est en train d’être installée tout cela constitue des actes positifs à noter durant ces 100 premier jours » a-t-il affirmé.

Sur ses attentes, Dr Faya Millimono souhaite la mise en place d’une commission pour répertorier les actes de violations des droits de l’homme enregistrés en Guinée.

« Pour être exhaustif, pour être complet, il est important qu’une commission soit mise en place pour répertorier tous les cas de saignement du sang guinéen par la violation des droits et libertés individuelles, par la mort des Guinéens, une fois cela fait un travail de mémoire sera fait pour se rappeler de notre histoire pas seulement des faits glorieux mais aussi des faits moins glorieux pour ne pas avoir à les répéter » a laissé entendre le président du bloc libéral

Hady MINTHE

Kindia : le problème de logement, un véritable casse-tête pour les étudiants de l’Université de Foulaya

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A seulement un mois de l’ouverture des classes pour les étudiants des universités guinéennes, ceux de l’Université de Kindia rencontrent assez de difficultés liées au logement. Ces étudiants venus des autres régions de la Guinée, dénoncent la hausse du coût du logement de façon anarchique sans aucune réglementation.

A Kindia plus précisément à Foulayah, les étudiants ont du mal à trouver un logement. Les locataires fixent les prix à leur guise. Pour obtenir une chambre, le prix varie entre 150.000 à 250.000 GNF. Aucune réglementation dans la fixation du prix ce qui inquiète les étudiants comme l’indique Ramatoulaye Baldé étudiante de la licence en chimie « le prix de la location augmente n’importe comment, l’année passée on payait ici à 100.000 GNF au retour des vacances on nous a dit 150.000 GNF. Il y a des concessionnaires à Foulayah ici dès fois tu peux quitter la maison tout va bien tu pars à l’Université à ton retour, il dit à partir de la semaine prochaine je veux que tu libère ma maison j’ai trouvé un autre locateur.
Tout cela c’est pour augmenter le coût de logement » dénonce-t-elle.

Face à cette souffrance des étudiants, Mohamed Naby Sylla étudiant de la licence 3 sociologie propose deux solutions « la première, les autorités guinéennes doivent entrer en contact avec les ressortissants de Kindia pour discuter avec eux en vue de trouver une solution liée au logement. Deuxièmement, les autorités doivent construire des dortoirs pour les étudiants même si c’est à payer ça ne sera pas comme les autres même si c’est 100.000 GNF ça va nous arranger » propose t-il.

Ils demandent aux autorités de penser à l’amélioration de leur condition de vie et d’étude. Reste à savoir si cet appel sera entendu par le gouvernement de transition.

Hassatou Lamarana Bah

Syli National : Découvrez la liste des membres du nouveau staff technique

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On connaît désormais la liste des membres du nouveau staff technique du Syli National. Après la confirmation de Kaba Diawara au poste de sélectionneur de l’équipe, le comité de normalisation a dévoilé les noms des membres de son staff.

Sur la liste on retrouve Pascal Feindouno qui est l’entraîneur des attaquants. Mandjou Diallo occupe le poste de sélectionneur adjoint et Kemoko va entraîner les gardiens. Pour le reste, Ousmane Decazy est le nouveau Manager et Edgard Barbara signe son retour comme intendant.

Voici la liste :

Lansana Kouyaté : «en 6 mois, une transition ne pourra pas être crédible »

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 La CEDEAO exige des autorités guinéennes le retour à l’ordre constitutionnel dans un délai de 6 mois. L’ancien premier ministre  ne trouve pas ce délai raisonnable.  Interrogé ce mardi 14 décembre, Lansana Kouyaté estime qu’une transition ne pourra pas être crédible en 6 mois.

«Je crois qu’aucune personne ne vous dira que c’est réaliste de penser que dans 6 mois on peux abattre un tel travail. Mais il faut comprendre bien la position diplomatique des organisations régionales, des organisations sous régionales et organisations internationales. Les moyens de pression sont multiples. Est-ce que ça relève de ces moyens de pression? La CEDEAO est la seule à pouvoir vous dire oui, ça relève des moyens de pression. Mais en 6 mois, une transition ne pourra pas être crédible. Je le dis en toute sincérité», Indique Lansana Kouyaté depuis Abidjan.

Mansaré Naby Moussa 628-030-370

Edito : Antonio Souaré, fils de ses œuvres, clair comme le jour et victime de sa prodigalité

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Malgré les articles à charge dressés contre lui, Antonio Souaré est clair comme de l’eau de roche.

Certes qu’aucune gestion humaine n’est détachable de tout soupçon, et que tout gestionnaire public a l’obligation de rendre des comptes mais il serait inconcevable de garder le silence face à un jeu de massacres visant un homme dont la probité morale ne souffre d’aucun doute et dont le charme de la personnalité mérite un respect absolu.

Vu le nombre incalculable de son investissement dans le pays, Antonio Souaré est l’exemple le mieux abouti du serviteur dévoué et du nationaliste convaincu qui n’a de vocation particulière que de rendre service aux autres tant que faire se peut.

« Tant que le cœur me battra, tant que Dieu me donnera les moyens, je les partagerais sans condition pour cette jeunesse guinéenne », a affirmé l’enfant né de la bonne famille de Wondima.

Antonio Souaré ne cache pas un cadavre dans son placard.

Il a la main propre comme un œuf blanc qu’aucune cabale comme un pet sur une toile cirée ne saura ébranler ni salir.

Antonio n’est redevable à personne  et ne craint de rien, cependant, aucune élucubration à son encontre ne restera intolérable.

Sa gestion à la tête de la FEGUIFOOT a toujours été félicitée par la FIFA à chacune de ses missions d’inspection déployée en Guinée. Alors, ne cherchez pas des poux sur un crâne rasé.

Il vous sera très difficile de détruire cette belle réputation dont le nom mérite une inscription en lettre d’or dans le registre historique des dignes patriotes de la République.

Pourquoi toute cette haine et toute cette méchanceté humaine ?

Pourquoi vouloir éteindre tout célébrissime avec des mensonges ?

Dans ce monde de mépris, où l’on juge sans esprit, et où, on condamne sans crime, vous ne cesserez d’être la victime d’un temps qui n’existe plus en étant qu’acteur du seul moment qui vous appartient.

Ce, malgré son départ accepté de la FEGUIFOOT, l’homme est titillé dans ses moments de méditations où, il a besoin d’échanger avec lui-même et de se donner un nouveau challenge.

Prenez sa place, ne salissez pas son honneur et collez à Antonio  la paix !

Ne dit-on pas que : « la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe ».

Oumar Barry

Les 100 jours du CNRD : un bilan élogieux ! (Ibrahima Sory Cissé)

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Après bientôt 100 jours de gestion, l’on peut affirmer, sans aucun risque d’être démenti, que le bilan du CNRD (Comité national du rassemblement pour le développement), à sa tête le valeureux colonel Mamadi Doumbouya, est nettement positif. Les actes posés à ce jour par les nouvelles autorités du pays sont vraiment dignes d’éloges.

Une charte de la Transition adaptée aux réalités guinéennes

Au lendemain de sa prise du pouvoir, le colonel Mamadi Doumbouya a pris le soin de rencontrer toutes les forces vives de la nation à la faveur des consultations organisées au palais du Peuple. Par la suite, une Charte de la Transition a été publiée pour baliser le chemin menant à des élections libres et transparentes, comme le souhaitent vivement les Guinéens et les partenaires techniques et financiers. Les organes qui ont été prévus dans ladite charte sont : le CNRD, le président de la Transition, le gouvernement de transition et le conseil national de transition (CNT).

Des nominations sur la base de la compétence

Dans les nominations (Premier ministre, chef du gouvernement ; membres de son gouvernement ; secrétaires généraux, chefs de cabinet ; directeurs généraux ; gouverneurs de région, préfets, etc.), le président de la transition a non seulement tenu compte des compétences mais aussi de l’équilibre ethnique et régional. Sans oublier la dimension genre.

La croisade contre la corruption

En trois mois, le colonel Mamadi Doumbouya a donné la preuve de son engagement total et de sa volonté ferme à mener une lutte sans merci contre toutes les formes de corruption qui, ces dernières années, ont largement contribué à maintenir la Guinée et les Guinéens dans un état de pauvreté extrême, en dépit de l’immense richesse du sol et du sous-sol du pays. Il y a quelques jours, il a pris la bonne décision de créer la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF). Une nouvelle juridiction à laquelle il a été transféré les compétences de la Haute de justice dont la mise en place a été réclamée à cor et à cri par tous les Guinéens soucieux de la bonne gestion des affaires publiques de leur pays. Comme il l’a dit au lendemain de sa prise du pouvoir, les Guinéens ont désormais pour boussole la justice.

De sérieuses perspectives d’emploi pour les jeunes

C’est certainement animés du souci d’offrir des opportunités d’emploi aux jeunes diplômés des universités publiques et privées du pays que le nouvel homme fort du pays et son équipe ont envoyé à la retraite des milliers de cadres civils et militaires après avoir rendu, pendant des décennies, de loyaux services à la nation. Ce qui permettra, dans les semaines ou les mois à venir, le recrutement des jeunes à la fonction publique et au sein des forces de défense et de sécurité (armée, gendarmerie, police)

La réconciliation par des actes forts et symboliques

Du 5 septembre à ce jour, force est de constater, avec bonheur, que le colonel Mamadi Doumbouya a posé des actes allant dans le sens de la réconciliation des Guinéens avec eux-mêmes et avec leur histoire. Parmi ces actes, l’on peut citer notamment : le recueillement sur les tombes des deux premiers présidents de la Guinée indépendante, au cimetière de Bambéto, au stade du 28-Septembre ; la participation du PM à une cérémonie organisée par l’Association des victimes du camp Boiro ; l’élévation d’une stèle à la mémoire de Kaman Diaby (un membre fondateur de l’armée guinéenne) ; l’élévation d’une stèle à la mémoire des victimes du crash de Monrovia en 2011 ; restitution des Villas de Bellevue aux héritiers de Sékou Touré (premier président de la Guinée indépendante).

Autres actes du CNRD applaudis par les Guinéens

Comme on le voit, il serait vraiment fastidieux de lister tous les actes concrets et positifs posés par le colonel Mamadi Doumbouya et ses compagnons du CNRD : ouverture des frontières avec les pays voisins (Sénégal, Guinée-Bissau, Sierra-Leone), libération des détenus politiques, récupération des biens de l’Etat. L’on ne peut donc qu’applaudir ce bilan élogieux du CNRD et de son président, en seulement 3 mois de gestion des affaires publiques. Pour conduire sereinement le navire de la transition guinéenne à bon port, ces dignes fils du pays ont besoin de l’accompagnement de tous les Guinéens et de la communauté internationale.

Ibrahima Sory Cissé

Danemark. Prison ferme contre Inger Stojberg, l’ex-ministre de l’Immigration briseuse de couples

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L’ex-ministre danoise de l’Intégration et de l’Immigration, Inger Stojberg, 48 ans, écope de deux mois de prison ferme pour avoir séparé arbitrairement des couples de migrants.

Difficile d’imaginer ministre de « l’Intégration » ​plus hostile aux migrants. Au pouvoir de 2015 à 2019, la libérale Inger Stojberg a fait le bonheur de ses alliés de coalition, le Parti du peuple danois, d’extrême droite. Son credo ? Se débarrasser ​des réfugiés venus pomper le système.

Pub anti-exil et baisse des allocations

Le cynisme de l’ex-journaliste, aujourd’hui députée, a porté ses fruits. En un an, les arrivées de migrants ont dégringolé de 21 000 à 6 200, dans ce pays de 5,8 millions d’habitants. Il faut dire qu’elle n’a pas lésiné sur les moyens : elle a arrosé les médias arabophones de publicités décourageant les candidats à l’exil, a réduit de moitié les allocations des réfugiés et allongé d’un à trois ans le délai pour tout rapprochement familial.

Elle a aussi fait les poches des arrivants, en ordonnant la saisie des bijoux et de l’argent de ceux dotés de plus de 1 300 €. Nous ne confisquons pas les alliances , a cru bon de préciser la bonne âme Inger Stojberg.

L’ex-ministre préférée des Danois

Les jeunes couples étaient toutefois dans son collimateur. En 2016, au prétexte de protéger des mineures soi-disant mariées de force, elle a arbitrairement fait séparer vingt-trois couples, dont certains avaient des enfants. Et ce, dès leur entrée sur le territoire et avant même l’étude de leur dossier.

Ce lundi 13 décembre, après deux mois d’audience, la Cour spéciale danoise de justice l’a jugée coupable de violation délibérée de la loi. À 48 ans, l’ex-ministre est condamnée à soixante jours de prison ferme. Le Parlement doit encore se prononcer sur son éventuelle exclusion. Rien n’est joué. L’immigration reste en tête des préoccupations de 70 % des Danois, qui considèrent toujours Inger Stojberg comme leur ex-ministre préférée.

Avec ouest-france

Affaire de l’eau empoisonnée en 2010 : L’ancienne DG de l’hôpital Ignace Deen dément(témoignages)

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L’affaire de l’eau empoisonnée  en 2010 était-elle une manœuvre des autorités de la transition  dirigée par Générale Sekouba Konaté ?  Qui étaient derrière ces astuces d’empoisonnement de l’eau ? Une histoire qui a failli susciter la guerre civile en Guinée refait surface. Invitée dans l’émission les Grandes Gueules ce mardi, la Directrice générale d’alors de l’hôpital Ignace Deen où plus de 57 personnes présumées empoisonnées ont été transférées, a fait de sérieuses révélations.

Selon Fatoumata Binta Diallo, avant son limogeage, elle a été contrainte d’affirmer qu’il y a eu des morts et de soutenir la thèse de l’empoisonnement. C’est son refus qui lui a valu son poste de Directrice Générale de l’hôpital, dès l’avènement d’Alpha Condé au pouvoir.

 « C’était le vendredi 22 octobre après le meeting du professeur Alpha Condé, le service des urgences m’a appelée pour me dire qu’ils ont reçu une dizaine de patients dans un état de malaise et certains d’évanouissement. J’ai appelé mon adjoint et j’ai reçu un appel où on me demandait il y a combien de corps. Immédiatement je me suis levée et j’ai dit à cette personne de me donner 10 minutes. Je suis partie à la morgue il n’y avait pas de dépôt de corps. Donc je suis rentrée au service des urgences. C’est en ce moment que des journalistes sont venus me demander combien il y avait de dépôt de corps. J’ai répondu qu’il n’y avait pas de dépôt de corps. J’ai dit qu’il fallait attendre des résultats pour parvenir à la conclusion de la thèse de l’empoisonnement et j’ai dit que les techniciens qui étaient là pouvaient confirmer qu’il n’y avait pas de cas de morts », explique-t-elle avant de poursuivre :

 « Vers 10h une première fois et à 11h une deuxième fois le président Alpha Condé est arrivé pour visiter les patients. C’était entre les deux tours. Nous avons fait le tour des patients. Des femmes de Conakry 1 s’étaient introduites à l’hôpital. On m’a dit que c’est Brique Momo qui avait envoyé ces femmes.  Immédiatement il y’a deux qui se mettent devant moi pour dire que c’est moi qui ai dit que les enfants ne sont pas malades, qu’ils ont faim. Elles m’ont ensuite agressée et m’ont cassé deux côtes », a révélé l’ancienne DG de l HID.

C’est après cet acte, elle a été révoquée de ses fonctions, poursuit-elle :

 « J’ai été nommée par décret et j’ai été révoquée par arrêté, sans m’écouter, sans m’interroger, ni m’adresser une lettre d’explication, je me suis retrouvée sanctionnée par le premier ministre, suspendue et remplacée immédiatement par mon adjoint. C’est 5 jours après que l’arrêté est sorti. J’étais très peinée qu’après tous les services rendus au lieu d’être remerciée, qu’on me salisse face à la population guinéenne avec laquelle j’ai tout donné ».

Revenant sur l’affaire de l’eau empoisonnée, Professeure Fatoumata Binta Diallo révèle : « Il y a eu des choses, c’est extraordinaire. Un matin il y a eu un de ceux qui étaient hospitalisés qui est revenu des toilettes pour dire qu’il a vomis un crapaud. Ce sont des choses qui me dégoutent vraiment d’en parler… Il y a des charlatans qui étaient venus dans l’hôpital pour s’occuper de ces enfants. J’étais hospitalisée en ce moment, je ne gérais pas l’hôpital…», a-t-elle révélé.

Selon l’ancienne Directrice Générale de l’hôpital Ignace Deen, si elle avait soutenu la thèse de l’empoisonnement, elle aurait été nommée ministre.

« Je suis sûre que si j’avais soutenu cette thèse de l’empoisonnement j’aurais été ministre. Je ne veux pas citer de collègues. Il y a des gens qui voulaient que j’affirme qu’il y a eu des morts où qu’il y a eu ceci cela», a-t-elle dit avant d’affirmer clairement : « Il n y a pas eu d’empoisonnement ».

Propos décryptés par  Hady MINTHE