Selon nos informations, cet employé du nom de Sacko, tombé malade sans prise en charge n’aurait pas bénéficié du moindre repos pour se soigner.
Sommé de retourner à son poste au risque de perdre son emploi, le pauvre a rendu l’âme le jeudi 25 novembre en plein travail forcé, nous a confié un de ses proches.
Contacté la nuit du jeudi vers 22h par notre rédaction pour recouper l’information, le secrétaire général de l’usine, un certain monsieur Bérété nous a fait savoir qu’il ne répond pas aux appels téléphoniques la nuit et ce, après avoir décroché notre appel.
Les messages (SMS) qu’on lui a envoyés sont également restés sans réponse jusqu’au moment où on mettait cet article en ligne.
LINCOLN, 624901737