A Labé, c’est le centre Hoggo M’bouro qui a été choisi par les autorités pour le lancement du BEPC. Dans la préfecture de Labé, ils sont plus de 4000 candidats repartis dans 13 centres.
L’inspecteur régional de l’éducation de Labé revient sur les statistiques « par rapport au BEPC, la préfecture présente 4 661 candidats dont 2 595 filles, repartis dans 13 centres. Du côté de la région administrative de Labé, il ya un effectif de 7 577 candidats dont 3 952 filles, repartis dans 29 centres. Notre objectif cette année, c’est de faire des examens crédibles dont les résultats sont acceptés de tous. Pour que celui qui est admis soit fier de son admission et que les autres reconnaissent qu’il soit admis. Celui qui a échoué sache que oui, il a échoué parce qu’il n’a pas maîtrisé ces leçons », a fait savoir Bato Donzo, l’inspecteur régional de l’éducation de Labé.
Non loin, Bato Donzo est revenu sur les dispositions prises. « ce n’est pas seulement au centre Hoggo M’bouro où nous sommes, les dispositions prises c’est pour tous les centres de la région. Pour preuve, tous les surveillants ont prêté serment, ils ont fait une déclaration de confiance. Ils ont juré qu’ils vont gérer ces examens selon les principes édictés » précise Bato Donzo.
Au centre Hoggo M’bouro, où le lancement officiel a eu lieu, il y’avait des salles de classe où au lieu de deux surveillants, il n’y avait qu’un seul surveillant. D’après l’inspecteur régional de l’éducation, cet état de fait est dû au faite qu’il y a des enseignants qui ont refusé de prêter serment. Tout de même, il rappelle que jusqu’à ce moment, il ya certains enseignants qui sont en train de prêter serment à la DPE.
De Labé, Boubacar Garki Diallo pour Kalenews.org
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