Deux structures (COMISGUI et COMIGUI) se bousculent pour l’organisation du Concours de Beauté 2021. La première dit avoir été mandatée par le ministère de la culture et la seconde réclame la paternité exclusive du concours. Au-delà de ces deux, d’autres structures dénoncent les magouilles dans lesquelles, l’organisation du concours de beauté a été octroyée par l’ancien ministre de la culture Batama Sow. C’est le cas de CI’Scom.
Face à toutes ces cacophonies, le ministère de la culture, du tourisme et de l’artisanat ordonne l’arrêt immédiat de toutes les activités entrant dans le cadre de l’élection Miss Guinée. Ce jusqu’à nouvel ordre.
Tout contrevenant à cette interdiction s’exposera à des poursuites.
Le décès de la dame M’Mah Sylla, victime d’un viol collectif de la part des médecins a suscité une vive émotion et a provoqué des manifestations de colère sur les réseaux sociaux. Face à cette vague indignation, le tribunal en charge du dossier et le gouvernement de la transition ont fait des communiqués pour rassurer que justice sera rendue. Ces communiqués inquiètent Me Salif Beavogui, avocat de l’un des mis en cause.
Après avoir exprimé ses condoléances à la famille de la défunte, l’avocat de la défense exige le respect de la présomption d’innocence.
« Je présente mes condoléances les plus attristées à la famille de M’Mah Sylla et au peuple de Guinée. Cela dit, hier j’ai suivi le communiqué du gouvernement et celui du parquet de Mafanco qui ont indiqué que les auteurs seront sanctionnés et que la justice sera rendue dans cette affaire. En soi, c’est une bonne chose. On se bat tous pour le respect de la justice, des règles de droit, des grands principes de la présomption d’innocence, l’accélération de la procédure. Mais la crainte que j’ai est que ces communiqué ne soient pas de nature à influencer le cours normal de la justice, à condamner des innocents à la place des coupables. Aucun innocent ne sera condamné, mais personnellement je n’accepterai pas aussi qu’un coupable échappe à la justice. Une fois que la justice est saisie, que chacun se ressaisisse », martèle-t-il.
A savoir si la défense va plaider coupable dans cette affaire, Me Bea répond.
« Cela est prématuré. On ne jette personne en pâture, on ne diabolise personne. Pour le moment,mon client bénéficie de laprésomption d’innocence ».
Depuis la démolition de leur centre, les femmes à mobilité réduite ont du mal à travailler, faute de place. Parmi cette couche vulnérable, notre rédaction a rencontré Mariame Sylla qui malgré son infirmité pratique la couture dame au grand marché Gnenguema au centre-ville de Kindia.
« Ça n’a pas été facile parce que c’est le centre qu’on connait, où on gagnait le quotidien pour subvenir à nos besoins et aux besoins de la famille. Mais actuellement nous rencontrons plusieurs difficultés, nous avons un problème de place et quand tu es handicapé aussi ce n’est pas facile pour s’asseoir beaucoup ça me fait mal. Le déplacement de la maison jusqu’au lieu de travail. On a le problème de financement » expose-t-elle.
Salimatou Camara une autre infirme faisait la saponification. Mais depuis le déguerpissement, sa vie a basculé. Elle ne peut plus prendre en charge ses enfants. Cet état de fait s’expliquerait par le manque d’endroit où exercer son métier de saponification. Pour éviter d’aller dans la rue pour mendier, elle préfère courir derrière ses amies qui se débrouillent ailleurs pour les aider et avoir un peu d’argent.
Ce centre avant sa démolition regorgeait beaucoup de métiers comme : la saponification, la teinture, la broderie layette, la couture et d’autres activités.
À rappeler que le déguerpissement du centre des handicapés a eu lieu le 18 avril 2019.
Nous pensons qu’il faut faire attention pour ne pas sombrer dans l’euphorie. Sortons de la mise en scène pour aller vers le concret. Ne perdons pas de vue que ce pays vient de loin et que son peuple a des exigences très nombreuses. Dans quelques semaines ou mois, il va se reprendre et commencer à juger sur une base moins émotive. Si jusque-là il semble tout acquiescer c’est parce qu’il est encore occupé à fêter le départ du tyran Alpha Condé dont la gestion chaotique était une chape de plomb qui pesait sur tout le monde. Alors la fête va bientôt finir et l’émotion festive qu’a généré le coup de force va faire place au jugement rationnel.
Donc à la junte de faire très attention en intégrant cet état de fait. Encore une fois, aller vers le concret. Habiller les ministres en tenue militaire semble inopportun et immature. Ça dénote combien l’inexpérience et l’amateurisme prennent le dessus et ce, de la plus dangereuse des manières. Cela représente un grand risque dans la gestion de la chose publique, surtout en cette phase transitoire.
Nous ne doutons guère de la bonne intention qu’il pourrait y avoir derrière cet acte, mais encore une fois, il n’avait pas lieu d’être. On pouvait vraiment s’en faire l’économie. Il ressemble plus à une opération de charme, à un coup de communication. Mais si l’on y prend garde, ça risque même de produire un effet boumerangue. On en est pas loin, car le peuple de Guinée n’est pas dupe, loin s’en faut.
Parlant de la conduite de cette transition, force est de reconnaître que la junte est entrain de se compliquer la tâche. Si le CNRD a un agenda caché, il risque de se prendre dans ses propres pièges. Un pouvoir transitoire n’a pas le temps nécessaire, la légitimité requise, l’expérience appropriée et les moyens pour s’attaquer à tous les maux du pays. Nous ne faisons pas de prémonition, mais nous craignons qu’elle ne s’en mêle les pinceaux dans les semaines ou mois à venir. Cela est loin d’être un souhait, mais nous pensons qu’il faille en tirer la sonnette d’alarme. Nous sommes dans une transition dont les vraies priorités ne sont pas à chercher ailleurs. Jeter les bases institutionnelles et démocratiques du pays reste la priorité des priorités. Cela passe par la moralisation de la vie publique à travers un audit crédible et responsable, la restauration de la justice pour faire la lumière sur des crimes de sang et des crimes économiques, la dépolitisation de l’administration et la tenue d’élections libres et crédibles. Il n’y a pas mille chemins, à moins qu’on ne veuille s’embourber inutilement.
Travaillons vite à parachever la mise en place des organes de la transition et ensuite faire face aux strictes priorités. Il serait illusoire de penser à résoudre pendant cette transition tous les problèmes d’infrastructures dont souffre le pays, à plus forte raison développer une économie si fragilisée et dépouillée durant les onze dernières années. Il serait également prétentieux, voir même utopique de croire que par un coup de baguette magique l’on pourrait gagner le parie de la refondation de l’État. Bien évidemment on aurait souhaité que cela se fasse, mais hélas, nous n’y pouvons rien en ce temps-ci. Soyons réaliste! La refondation dont il s’agit n’est ni plus, ni moins qu’un vœu pieux d’autant plus que l’on est dans une transition limitée dans le temps et l’espace. Alors plus question de se tromper des vrais chantiers.
Diabaty DORE président du RPR, Vice-président ANAD
Le statut général des militaires réaffirme le principe d’intangibles et les exigences qui conditionnent l’efficacité des forces armées et font l’unité de l’état militaire: la discipline, disponibilité, loyalisme, neutralité, et esprit de sacrifice, caractérisent le quotidien des femmes et hommes habillés en tenue militaire.
Le vendredi 19 novembre 2021, au lendemain du premier conseil des ministres, le premier ministre et les membres de son gouvernement, après avoir reçu solennellement le drapeau des mains du chef de l’Etat le Colonel Mamadi Doumbouya, ont quitté Conakry pour une immersion des forces de Défense et de Sécurité au cours d’un séminaire dans la préfecture de Forecariah.
Cette retraite gouvernementale ayant pour but, le renforcement de l’esprit de cohésion, de solidarité entre les ministres. Elle sera aussi l’occasion de revenir avec des idées clairvoyantes, pour relever ensemble les défis de cette transition a-t-on appris.
Un moment qui sera également mis à profit, pour constater de visu, l’état de dégradation de notre réseau routier, à fin de leurs permettre de prendre conscience des énormes défis à relever pour la reconstruction de notre cher pays. Ils sont appelés à cultiver l’esprit d’équipe, la camaraderie tout en revenant avec un projet de refondation.
Le chef de l’Etat Mamadi Doumbouya, a profité de l’occasion, pour exhorter les membres du gouvernement à s’inspirer du courage et du sacrifice dont ont fait preuve les forces de Défense et de Sécurité, au matin du 05 septembre 2021 en prenant leurs responsabilités face au peuple souverain. Mais aussi à s’investir et honorer la confiance placée en eux.
Les rôles tant nobles d’un militaire, étant de maintenir la paix dans le pays et le défendre contre les agressions extérieures. Faire respecter l’ordre public et assurer la sécurité des personnes…. Moi étant civile, je m’assujettie à la cause, pour que notre pays, à la richesse légendaire puisse se hisser au rang des autres africains et occidentaux.
Au terme de cette retraite, les hommes de Mohamed Béavogui sont attendus avec une feuille de route harmonisée, qui tiendra en compte des préoccupations légitimes du peuple de Guinée durant cette transition.
Dans une publication sur sa page Facebook, Souleymane Condé, l’un des codétenus de Roger Bamba rejette l’empoissonnement se son camarade de lutte. Selon lui, le seul responsable de la mort de Roger Bamba est le régime de l’ancien président Alpha Conde.
« Hier, dans ma vidéo, j’ai oublié de préciser que je tiens pour responsable le régime de l’ancien président Alpha Conde de la mort de Roger parce que son incarcération injustifiée et injuste l’a empêché d’avoir accès aux soins appropriés à temps.
L’échange sur Messenger entre Roger et le communicant du RPG dont j’ai oublié le nom ne constituait pas une infraction allant jusqu’à l’emprisonnement.
Le procureur Sidy Souleymane N’diaye, le commissaire Fabou Camara, et le communicant doivent un jour ou l’autre répondre.
NB: c’est la thèse d’empoisonnement que je trouve infondée.
Je m’excuse auprès de sa famille pour cette image; mais, je suis un témoin de l’histoire. Il est important d’apporter des éléments de précisions », a posté Souleymane Conde.
Aminata Diallo, présidente de la structure KPAAF a mis le feu aux pailles. Après son communiqué notifiant que sa structure aurait été officiellement mandatée pour l’organisation du concours « Miss Guinée », les réactions des structures de spectacle n’ont pas tardé. Après Johanna Barry, présidente du COMIGUI, qui réclame la paternité exclusive du concours Miss Guinée, Nfaly Fofana alias Saint Kauphy de la structure Cis’Com, hausse le ton.
Saint Kauphy dénonce les magouilles dans lesquelles Dame Aminata Diallo s’est retrouvée en tête après une « simulation » d’appel d’offre. Selon lui, l’ancien ministre des sports, de la culture et du patrimoine historique, en l’occurrence Batama Sow avait déjà tout préparé pour Aminata Diallo. « Ça été une mascarade. L’appel d’offre n’a pas été un appel d’offre proprement dit. C’était un semblant d’appel d’offre pour quelqu’un de sa convenance. Dans l’appel d’offre il y a eu 8 structures qui ont postulé mais il n y a que 4 qui ont répondu. Les quatre structures ont été appelées le 28 janvier pour qu’on puisse choisir à qui l’organisation va revenir. Le 28 alors, les quatre structures ont répondu à l’appel, dont Maraka Event, CPP de Ibrahim C, KPAAF de la dame Aminata Diallo et la Cis’s Com de Saint Kauphy. Les quatre structures étant là-bas, ils ont procédé à l’ouverture des plis. Ils ont commencé par l’enveloppe de Maraka Event dont beaucoup de dossiers manquaient. Donc ils ont mis ses dossiers de candidature de côté. Après ils ont pris le dossier de candidature de CPP. Ils ont commencé à vérifier tous les documents demandés, ils se sont rendu compte qu’il y a le casier judiciaire qui y manquait. Ibrahim C a dit que le casier judiciaire ce n’est pas un document aussi difficile à trouver, qu’il peut aller le chercher au TPI de Kaloum. Ils ont dit non, qu’à partir de l’instant où ils ont commencé à procéder à l’ouverture des dossiers, la compétition a commencé, qu’on ne peut plus rien rajouter comme document. Ils ont mis les dossiers d’Ibrahim C de côté », explique-t-il.
Quant au dossier de la structure KPAAF, Nfaly Fofana raconte : « Pendant tout ce temps, il n’y avait pas d’intervention extérieure. Dans le dossier de KPAAF, ils ont fouillé et un des membres du jury a remarqué l’absence de la licence d’entrepreneur de spectacle. La dame (Aminata Diallo) a appelé à son bureau pour qu’on lui a envoie la licence par WhatsApp. Donc elle a présenté la photo de la licence au président du jury par WhatsApp. Ensuite, ils ont mis ses dossiers de côté et ils ont continué. Ils sont passés maintenant au dossier de Si’s Com. Pendant qu’ils étaient en train de regarder ce dossier, il y a des appels qui tombaient dans la salle, l’atmosphère avait changé. Le président du jury maintenant faisait des va-et-vient pendant que le conseiller juridique était concentré sur le dossier de Si’s Com.
Quelqu’un qui n’avait rien à voir avec l’appel à candidature est rentré dans la salle pour venir siffler quelque chose dans les oreilles du conseiller juridique (comme quoi on t’appelle mais tu ne décroches pas). Il a pris alors son téléphone et a rappelé le numéro qui l’appelait. Et ce numéro c’était la cheffe de cabinet depuis Dakar. J’avais signalé à Ibrahim C que c’était l’appel de la cheffe de cabinet mais je ne savais pas elle appelait pour soutenir qui. On avait compris que quelque chose se manigançait. Quand ils ont fini de vérifier mes dossiers, le conseiller juridique a dit que tous les dossiers sont au complet avec même une clé USB où il y avait des vidéos de Miss Bôrô, Miss Université et Cassette d’or. Comme ils ont demandé des évènements d’envergure nationale, moi en plus de l’écrit et des photos, j’ai envoyé une vidéo pour montrer mon travail. Après ils nous ont dit de rentrer et qu’après ils nous appelleraient », dit-il avant de poursuivre :
« C’était le jeudi 28. Jusqu’à dimanche 31 on n’a pas reçu d’appel. Maintenant le lundi 01, ils appellent la dame pour lui octroyer sans que nous ne soyons saisis, parce qu’ils savaient s’ils nous appellent, ils ne peuvent pas justifier. Il y a un document essentiel qui manquait et qui pouvait éliminer la dame Aminata Diallo. Même s’il avait la licence, mais si elle a oubliée de la mettre dans ses dossiers, elle devait être éliminée parce comme ils l’ont dit dans le cas de Ibrahim C. Sinon c’est du deux poids deux mesures. S’il n’y avait pas de manigance, est-ce qu’ils allaient se comporter de la sorte ? », Interroge le président de Si’s Com.
« Aminata Diallo n’a qu’a sorti des preuves qu’elle a 10 ans d’organisation d’évènement d’envergure nationale, parce que ça fait partie des critères de candidature. Lors d’une de ses interviews à Espace TV, elle a dit que ça fait 4 ans, elle organise un évènement en Guinée ».
NFaly Fofana compte attirer l’attention du nouveau ministre Bill de Sam sur les ‘’manœuvres’’ de Batama Sow. « Je ne veux pas qu’on mette Bill De Sam devant les faits. C’est pour qu’il soit informé, pour ne pas qu’il soit devant le fait accompli. Le mardi il y avait la passation de service, Bantama a précipité les choses. Il a dit qu’il a passé le concours à une nouvelle structure ». La question que suggère NFaly Fofana à Bill De Sam est : Après 7 mois de son installation, pourquoi Sona Konaté, celle qui a succédé à Batama Sow au département de la culture, n’a jamais officialisé l’octroi de l’organisation du concours « Miss Guinée » à la structure KPAAF ?
Dans le communiqué ci-dessous, le parquet du TPI de Mafanco révèle les noms des mis en cause dans le viol de la dame M Mah Sylla. Il s’agit de Patrice Lamah , Daniel Lamah, Sebory Cissé tous médecins. Les accusés sont placés en détention provisoire. Un autre du nom de Célestin Milimono est en fuite.
Dans le même communiqué, le procureur rassure le peuple de Guinée que la justice sera rendue.
Son Excellence le président Dr Julius Maada Bio a commandé le début de la construction d’une autoroute frontalière Koidu-Guinée de 78 kilomètres de long, affirmant que l’infrastructure de 94 millions de dollars ouvrira un espace commercial et favorisera commerce entre la Sierra Leone et la Guinée.
Le chef suprême Mbriwa Sahr Youngai Kontanday a déclaré que le début de la construction d’une route principale reliant les deux pays était un développement clé pour les habitants de cette partie du pays, ajoutant que les gouvernements précédents avaient laissé tomber le peuple de Kono. Il a fait valoir que le pays avait beaucoup bénéficié des minéraux de Kono mais qu’il n’y avait aucune preuve d’une telle richesse minérale pour le peuple.
Il a en outre déclaré que seul un président qui se souciait vraiment de son peuple songerait à investir dans de telles routes, qui traverseraient finalement cinq chefferies et bénéficieraient à sept chefferies du district. « Au nom du peuple de Kono, nous disons merci », a-t-il noté.
Le directeur général du Groupe GUICOPRES, Youssouf D. Kamara, s’est dit très heureux de faire partie de cet événement historique, ajoutant que la construction de la route serait non seulement très bénéfique pour les habitants de Kono, mais signifie beaucoup pour le pays et ses voisins de l’Union du fleuve Mano.
Sur sa page Facebook, le PDG du groupe Guicopres, Kerfalla Person Camara KPC a exprimé toute sa satisfaction face à cette confiance renouvelée.
Je suis fier d’annoncer que notre filiale Guicopres Sierra-Léone a obtenu ce mois de Novembre 2021 un contrat de reconstruction sur une durée de 36 mois, de 78 km du tronçon « Sefadu – Kamiendor » de la route menant à la frontière Guinéenne.
Cette commande publique de l’Etat Léonais est une reconnaissance renouvelée des capacités techniques et de l’excellente image de Guicopres Sierra Léone; ceci après qu’un premier tronçon de route ait déjà été réalisé avec succès, il y a de cela deux ans.
Je souhaite adresser en cette heureuse occasion mes chaleureuses félicitations et mes remerciements personnels à Monsieur Youssouf Decazy CAMARA, DG de Guicopres Sierra Léone ainsi qu’à ses équipes, pour l’excellent travail de suivi et de préparation du dossier ayant conduit à l’adjudication de ce contrat signé avec l’Autorité des Routes de Sierra Leone.
Je profite également de l’opportunité qui m’est ainsi donnée pour réitérer mes remerciements à M. SOW Magariou qui avait travaillé avec efficacité à la réalisation du projet routier précédent ; et grâce auquel nous cueillons aujourd’hui les fruits de notre sérieux et de notre professionnalisme.
Je conclurai en exprimant ma profonde gratitude à l’Etat Léonais pour la confiance ainsi manifestée au Groupe Guicopres. Nous ferons tout pour en être digne et promouvoir ainsi ce partenariat qui nous honore.
Suite à de nombreux coups d’appel cherchant à vérifier ce qu’ils considèrent comme «information » relative à un prétendu retrait du Président SIDYA TOURE de la scène politique, je m’inscris en faux en rappelant à chacun et à tous que des voix plus autorisées existent pour parler au nom du Parti et au nom du Président. Ce ne sont que des rumeurs, l’œuvre des éternels perdants.
De ces inquiétudes suscitées ci et là par ces nombreux appels, nous réalisons encore une fois combien l’espoir des guinéens se trouve en notre leader le Président SIDYA TOURE. Ainsi, donc, nous rassurons chacun et tous de notre détermination à continuer à défendre les valeurs pour lesquelles nous nous sommes investis en politique et qui bénéficient de l’adhésion de chacun de vous. Cette détermination se poursuivra avec vous et pour vous. Car nous nous sommes engagés en politique pour la Guinée et pour les guinéens.
En cette phase transitoire, les efforts doivent être mobilisés pour sa réussite pour la Guinée et pour les guinéens. Aucune distraction ne doit occuper ce serait-ce qu’un instant notre esprit.
Fodé BALDÉ, Responsable Communication digitale UFR
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Fonctionnel
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web à des fins de marketing similaires.