Dites au dictateur Maquis Sale qu’ « En démocratie, le succès d’un homme politique n’est pas la manière dont il accède au pouvoir mais plutôt la façon dont il le quitte ». Loin s’en faut !
Alors il aura fallu au Président délinquant « Maquis Sale », de se considérer ou de se prendre pour un Dieu avant de servir une ubuesque scène comme celle d’hier au peuple sénégalais et au monde entier comme on en avait jamais vu. L’apprenti-despote qui ne veut plus quitter le pouvoir n’a pas hésité un seul instant à donner l’ordre à sa soldatesque composée de cancres sans foi ni loi, d’arrêter de la plus brutale et barbare des manières le futur chef d’État du Sénégal le leader charismatique au talent fédérateur Ousmane Sonko. Quoi de plus étonnant, pour un président qui donne à son pays l’image d’un pays où il y’a encore des cancres dans l’espace public avec l’insouciance et l’indifférence des acteurs avertis dans un Sénégal qui tire le diable par la Queue. Un Sénégal qui pendant longtemps a été considéré comme une vitrine démocratique inspirante pour n’avoir jamais connu l’expérience d’un coup d’État, sauf que la réalité de cette autre réalité était tapis dans l’ombre car il y’a bien pire qu’un coup d’État en démocratie et maquis Sale le président délinquant nous a en servi des larves hier. De jure facto, il faut considérer un tant soi peu l’attitude délinquante de celui qui se réclame démocrate sans en avoir les notions les plus basiques de cette même démocratie tant décriée parfois à cause du comportement honteux et indélicat de certains voyous à la tête des États africains. Maquis sale et son union de fretins ne font plus rêver personne. Ils constituent depuis longtemps le véhicule de toutes les dénégations et de toutes les impostures. Qu’on soit d’un côté ou de l’autre de la barrière, le discours ne sera peut-être jamais le même, certes, mais ce n’est pas non plus une raison de travestir les faits, maquiller les événements et tenter de faire avaler des absurdités. Comme fait maquis sale accompagné de son voyou de gouvernement.
Sans doutes, sur ce plan il faut avouer que le quidam qui tient à se maintenir au pouvoir par tous les moyens illégaux, souffle de plus en plus sur le chaud et le froid, entraînant avec lui des extrémistes de tous bords. Dans ce cadre, entre des fous à lier, des suiveurs sans saveur ni connaissance, des hommes à la mémoire percée, des goujats sans éducation civique, et des anti-démocrates, tous les ingrédients pour inciter à une guerre civile sont là.
Au moment où l’Afrique s’apprête à entrer dans une phase décisive de son histoire politique avec environ trois pays en transition, l’exemple sénégalais loin de cela, est le pire qui nous soit donné. Quand bien même que ce n’est pas la première fois qu’un délinquant chef d’État africain puisqu’ils sont nombreux, se livre à une guerre barbare sans merci contre l’opposition de son pays. C’est pourtant toujours cela l’Afrique de la honte. Malgré ça, certains refusent de voir la véracité des faits tels qu’ils arrivent, d’accepter de compatir ne serait-ce que ça au moins au sort d’un homme porté par l’idéal d’une grande vison libératrice d’un peuple qui vit sous les armes et la terreur d’un chef d’Etat délinquant. Passons.
Aujourd’hui maquis sale souille et désacralise la fonction présidentielle plus qu’autre chose, et reste dans une posture inflexible ou plutôt suicidaire, au détriment de son pays et du continent. Comment faire d’un simple differend politique dans lequel, un président en place utilise frauduleusement et abusivement en sa faveur l’appareil judiciaire, un combat de toute une république ? Il s’agit des procès de simulacre sans fondement aucun, qui ont pour but d’empêcher le président ousmane Sonko d’être candidat à la prochaine présidentielle, déjà averti que quiconque que ce dernier le battra dans les urnes, (vérité pour ceux qui refusent de se faire berner). C’est le tour de passe-passe que maquis sale a réussi à faire gober à des milliers de nigauds dans lequel des intellectuels de pacotille se fourvoient sans vergogne et surtout, n’ont aucun argument à faire valoir. Mais que vient donc faire tout ce qu’on a vu hier dans cette histoire ? Est-ce les paisibles citoyens qui vivent à peine le jour ? Le délinquant maquis sale, en bon président autoproclamé, surtout d’opérette, joue à merveille cette symphonie, hélas, avec une barbarie dans le cul.
L’ultime syncrétisme de la voltige mensongère du délinquant maquis sale et son voyou de gouvernement est le fait de jeter la honte aux chiens, et triturer honteusement le trait.
Maquis sale et tous ses suiveurs d’hypocrisie sont les seuls responsables de tout ce qui se passe aujourd’hui au Sénégal. Quelle vergogne ? Mais il convient de rappeler sans peur aucune, Comme le célèbre penseur l’a dit « Il n’y pas de situations désespérés, mais il y’a plutôt des hommes qui désespèrent des situations » et le Président Ousmane Sonko n’est pas un défaitiste. Il croit dur comme fer à son combat et il le mènera jusqu’à bout du tunnel, n’en déplaisent !
Le délinquant Maquis sale omet que, qui se construit dans le mensonge, la supercherie et la duperie peut arriver a ses fins, mais se mettra à dos le peuple qui peut céder à la tentation du rêve, mais ne pardonne jamais qu’on le traîne dans le cimetière des illusions perdues. Le courage de la vérité ne sera jamais vaincu par la force de la démagogie, parce que la politique par la caricature a montré (depuis longtemps) ses limites, devant les sacrifices et la détermination des hommes dignes en phase avec l’histoire, et toujours célébrés dans le temps. Comme pour les venger des imposteurs et héros de circonstances qui brillent parfois, mais disparaissent toujours aussi.
Maquis Sale je n’en ai pas fini avec toi c’est promis.
(Par Aboubakr)