Aujourd’hui combien sommes-nous à le savoir que le malheur irrépressible du Sénégal sera de ne pas se donner la chance d’avoir ce grand-homme à sa tête pour conduire ses destinées à la prochaine élection présidentielle. Fort est-il de la personnalité et le courage que cet homme incarne, il apparaît aujourd’hui sans ambages dans le microcosme politique sénégalais comme l’homme au profil atypique pour gouverner le Sénégal post-Macky Sall actuel président du Sénégal qui tend vraisemblablement vers la fin de son dernier mandat comme le prescrit la constitution sénégalaise. Auréolé d’un courage de lion pour sauver son peuple afin de lui faire sortir de l’ornière dans lequel il est plongé depuis belles lurettes, par la lucidité politique et historique d’un programme politique clair et succinct. Le Président 𝗢𝗨𝗦𝗠𝗔𝗡𝗘 SONKO, porte en lui, « par son parti », le Pastef, un projet de société qui prend en compte toutes les nécessités impérieuses du Sénégal sur tous les plans. Ceci étant, que l’unique chance aussi du Sénégal sera de lui donner l’occasion au prochain scrutin présidentiel de briguer le sommet de l’État afin de lui permettre d’appliquer son programme politique, programme qui dans sa configuration interne et externe expose le devenir d’un pays par l’idéal d’une vision politique aussi grande qu’elle soit jamais portée par un homme politique sénégalais. Ce ne sera ni un miracle, ce sera l’intelligence, la volonté patriotique, l’amour qu’il nourrit pour son pays et la crainte de Dieu qui seront à l’œuvre. Stupéfaits, seront nombreux, par des calculs haineux de critiquer les grandes réformes qu’il enclenchera dès son élection à la tête du pays, mais l’homme n’écoutera que son peuple en qui il a foi et se passera des intrigues politiques.
Le président Ousmane Sonko n’est pas qu’une chance seulement pour le Sénégal mais de l’Afrique tout entière. Panafricain aguerri qu’il est, il a l’Afrique chevillée au corps et ses valeurs éléphantesquement sacrées qu’il transporte aux bouts de ses semelles.
« Moins de Lui » : la Sonkophobie déclarée et ambiante dans un pays encore déchiré transparaît d’abord chez les partisans de certains partis politiques qui ont du mal à lui pardonner d’avoir choisi « son chemin politique » contre leurs éternels champions « sans ambages arrivistes qu’ils sont », donc d’avoir fait preuve d’adversité politique en prenant la tête d’un parti politique et se lancer dans la difficile course pour conquérir le pouvoir, d’avoir fait preuve de constance sur son chemin contrairement à certains hommes politiques sénégalais qui sont en politique pour drainer le Sénégal dans la boue, qui mérite mieux. Mais elle transparaît aussi parmi certains compagnons et soutiens loyales du président Sonko qui sans prétention compte sur le vaillant peuple du Sénégal pour que l’histoire politique sénégalaise l’accorde le titre d’or, de celui qui a conduit le Sénégal vers son vrai destin. Pour les alliés d’aujourd’hui comme si beaucoup dans ce microcosme politique Sénégalais voulaient tourner la page d’un passé difficile pour ne pas avoir à s’en expliquer aujourd’hui ou à en souffrir demain. Ou comme s’il fallait définitivement, coûte que coûte, écarter le pion Sonko pour ne plus avoir à faire à ce poids lourd à la prochaine présidentielle sénégalaise, mais malheur est parfois bon, l’homme serait aujourd’hui dans des ennuis s’il avait dans son parcours suscité des intérêts vifs personnels au détriment du véritable combat qu’il mène pour sauver son pays. Sachant la haine que beaucoup nourrissent contre lui. 𝗢𝗨𝗦𝗠𝗔𝗡𝗘 Sonko est heureusement resté fidèle à ses convictions politiques et le restera pour toujours, soyez-en sûrs cet homme n’a pas d’égalité dans sa sincérité politique. Ce n’est pas un sénégalais qui prend du plaisir à flagorner un homme mais un africain qui ne dit que la vérité sur le cas sénégalais.
Or, au-delà de l’enjeu de circonstance à savoir qui « dirigera » le Sénégal post-Macky Sall, qui suscite déjà une mauvaise tempête au niveau de la classe politique sénégalaise et oppose les partisans de tous les partis politiques adverses, il y a le besoin vital et commun à tous de ne pas faire rater le fauteuil d’or du palais de la présidence du Sénégal à cet homme qui porte le destin sénégalais sous ses côtes, un pouvoir qu’on considérerait de chèrement acquis après la présidentielle. Car peut-on parler de gagnant politique sans au préalable lancer une compétition politique ? Le peuple sénégalais qui compte faire savoir qu’il ne se laissera plus tenter par l’aventure de la démagogie et la révolution sans fin des promesses politiques, s’attèle d’ores et déjà à cogiter sur celui qui le gouvernera ? Mais à quel point ? Et au profit de qui ?
Il est évident que nous voulons tous le bonheur du Sénégal, mais comment parvenir à ce bonheur tant décrié ?
C’est pourquoi quand le moment viendra aussi loin qu’il sera, chacun doit choisir le président 𝗢𝗨𝗦𝗠𝗔𝗡𝗘 Sonko, c’est le seul choix consciencieux pour un Sénégal nouveau.
Le peuple, l’outil démocratique qui portera cet homme au sommet de l’État sait déjà que le choix de l’avenir et de l’évidence c’est 𝗢𝗨𝗦𝗠𝗔𝗡𝗘 Sonko.
Sans vouloir épiloguer avec le destin présidentiel d’un homme présidentiable, je suis persuadé que les sénégalais, iront ce jour historique déposer dans les urnes le seul bulletin Pastef (𝗢𝗨𝗦𝗠𝗔𝗡𝗘 Sonko), le bulletin de l’avenir sénégalais. C’est pourquoi pour le Président 𝗢𝗨𝗦𝗠𝗔𝗡𝗘 Sonko , Dieu est vérité et le Sénégal est esclave de son destin.
Enfin que cela soit clair pour tout le monde personne ne pourra empêcher cet homme de gouverner le Sénégal sauf Dieu, alors efforcez-vous à l’accompagner dans sa noble vision au cas contraire taisez-vous devant sa grande destinée.
Aboubakr Guilavogui, jeune guinéen qui admire incommensurablement le leader 𝗢𝗨𝗦𝗠𝗔𝗡𝗘 Sonko.
