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Les campagnes de dénigrement des mercenaraires médiatiques mises à nue (Maf Dramé)

Les journalistes qui se réclament de l’investigation devraient être guidés par la recherche rigoureuse des faits et des preuves. Leur mission est d’informer, non de servir une cause ou de défendre un camp, surtout lorsque celui-ci s’appuie sur des contre-vérités et paie pour l’imposer.

Malheureusement, attirés par la quête du gain facile et refusant de se soumettre aux exigences du professionnalisme qui élève leur métier, certains se dégradent et se transforment en mercenaires de la plume, prêts à manipuler l’opinion au gré des intérêts financiers.

Dans des articles truffés de dénigrements et dénués de tous fondements factuels, des journalistes se prétendants exilés et menacés tentent de salir l’image des Directeurs Généraux de l’ARSJPA , de la CNSS, de la LONAGUI, de l’ ARPT et ou encore du Gouverneur de la BCRG dont les compétences et l’intégrités sont pourtant reconnues. Loin de toute objectivité, ils s’inscrivent dans une démarche de propagande, au service d’un clan qui s’évertue à discréditer les cadres performants afin de saper vainement la confiance de l’opinion nationale dans la dynamique de refondation engagée par le CNRD depuis le 5 septembre 2021. Les mêmes journalistes, prompts à flatter ceux qui les rémunèrent , deviennent violemment critiques envers ceux qui refusent de répondre à leurs sollicitations.

Des institutions injustement ciblées

L’une des failles majeures des articles résident dans omission volontaire d’un fait essentiel : les institutions attaquées sont placées sous la tutelle directe de la Présidence de la République. En éludant ce détail, les auteurs tentent de faire croire que ces entités fonctionneraient sans supervision ni contrôle. C’est non seulement illogique, mais aussi insultant pour l’intelligence du lecteur, de laisser entendre que la Présidence cautionnerait des pratiques douteuses sans réagir.

Des professionnels victimes de jalousie et de haine

Ces Directeurs Généraux sont des professionnels chevronnés, reconnus pour leur efficacité et la qualité de leur travail. Le silence des articles à charge sur leur parcours et leurs résultats traduit une intention claire : occulter les faits pour ne laisser place qu’à la calomnie. Derrière ces attaques, transparaient les rancœurs personnelles alimentées par la jalousie de certains cadres frustrés de leur succès. Ils souhaiteraient être là où leurs compétences ne les amènent pas. Quelle indigne ambition ! Ceux sont les mêmes qui ont avaient dit que le Directeur Général de l’ARSJPA était Malien. Les preuves exposées n’en sont rien. Elles ne prouvent aucune malversation. A la limite , elles traduisent l’ignorance et le manque de niveau de ceux qui les présentent pour manipuler l’opinion. Quand la BCRG répond à un ordre de virement d’une banque commerciale, on crit au scandal . Quelle culture ! Le journalisme à charge fait les combats par procuration et se fait manipuler. Mais par fatuité, il s’en montre éclairé alors qu’il dégrade son métier.

Des réseaux d’intrigants à l’œuvre

Ces manœuvres ne sont pas nouvelles. Une minorité de cadres, frustrés dans leurs ambitions ou contrariés dans leurs intérêts, activent des réseaux médiatiques pour orchestrer des campagnes de dénigrement. Ils se servent de journalistes acquis à leur cause , parce que guidés par l’appât du lucre , pour accabler ceux dont la performance dérange. Le schéma est connu : mettre des bribes d’informations entre les mains d’intrigants qui disent être très indépendants alors qu’ils ne servent que la cause de l’argent.

Une stratégie de déstabilisation bien rodée

De l’ARPT à la LONAGUI, en passant par la CNSS ou la BCRG, de nombreuses institutions performantes ont été ciblées de la même manière : accusations infondées, manipulation de l’opinion, tentatives de détournement de l’attention, dénigrement des cadres compétents. Pourtant, les résultats sont là, tangibles et salués.

Le faux exil comme posture

Enfin, il faut s’interroger sur cette nouvelle posture de « journaliste en exil », souvent utilisée pour se soustraire ses responsabilités et s’attirer la sympathie de l’opinion. Ce statut, dans certains cas, devient un refuge commode pour justifier des écrits irresponsables et parfois commandités. Mais se présenter comme victime ne transforme pas une plume biaisée en voix crédible. L’exil ne devrait pas être un paravent pour l’indignité professionnelle.

Maf Dramé

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