« Le rythme cardiaque peut subitement s’accélérer, suite à un effort physique important ou un stress. C’est la tachycardie émotionnelle. Elle peut aller jusqu’à 120 battements par minute.
Dans le cas Kassory cela dénote la fragilité psychologique de l’intéressé et la décharge d’adrénaline qui peut advenir sous le stress. La CRIEF doit en tenir compte et éviter l’interrogatoire dans son lit de malade. Le pire pourrait advenir», a laissé entendre l’ancien député sous la 8ème législature dans un message relayé dans l’émission « Le Supplément » sur FIM FM, avant de souhaiter prompt et bon rétablissement à tous les malades alités.


