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Problématiques de la faiblesse du taux de pression fiscale, en Guinée : Quelles perspectives de solution sous le regard de Mme Fatoumata Foula Diallo, DGI (Abdoulaye Soumah)

Une promesse inavouée et surprise inattendue de toutes les institutions pour une augmentation du taux de pression fiscale par Madame Fatoumata Foula Diallo, Directrice Générale des impôts. Des réformes structurelles engagées au sein de l’Administration fiscale, sous le Leadership et management de Madame, la Directrice Générale des impôts, auront pour effet immédiat l’augmentation remarquable des capacités de mobilisation des recettes fiscales, et celles-ci auront inéluctablement pour conséquences la hausse du taux de pression fiscale en République de Guinée.
Que signifie taux de pression fiscale ? On entend par taux de pression fiscale, un indicateur de performance qui mesure la capacité de mobilisation des états par rapport à leur produit intérieur brut-PIB. Autrement dit, un indicateur macroéconomique servant d’analyse et de comparaison des performances économiques et budgétaires dans le temps et l’espace entre les états en termes de capacités réelles des structures fiscales.
Depuis près de deux (2) décennies, la moyenne du taux de pression fiscale pour la République de Guinée tournait autour de 11 à 12 % du PIB. Des préoccupations fondamentales et des réalités très connues de toutes les autorités publiques, institutions internationales et autres partenaires financiers soucieux de répondre aux problématiques souveraines des sources de financements du développement, comme celui du programme simandou 2040.
Pendant ce temps, selon une étude réalisée en 2024 par les experts de l’OCDE sur les statistiques des recettes publiques de l’Afrique pour l’année 2022, le ratio moyen Impôts /PIB (Recettes fiscales totales, plus cotisations de sécurité sociale en pourcentage du PIB) de 36 pays couverts s’élèverait à 16.0%. Quel drame économique et sort pour la Guinée dans cette course et bataille des performances macroéconomiques et budgétaires et requalification des structures fiscales et financières des pays en développement situés dans les mêmes zones économiques, partagent presque les marchés et partenaires commerciaux. Des interrogations et suspicions de part et d’autre sur les caractéristiques des solidités fiscales et financières aux yeux des bailleurs ou créanciers de fonds, conquis dans des positions calquées sur les arguments de rareté des ressources externes adossées aux préalables des conditions structurelles d’assainissement des finances publiques.

Son Excellence Général Mamadi Doumbouya, Président de la République, espoir de la Jeunesse, toute la notabilité du pays, des différentes couches sociales, religieuses et l’ensemble des membres du Gouvernement de Monsieur le premier Ministre Bah Oury, au nom des observateurs soucieux et inquiets pour l’avenir de notre patrie, les générations futures nous interpellent sur trois (3) questions centrales de nos finances publiques : 1-Où ira la trajectoire fiscale de la Guinée durant les prochaines années avec le programme simandou 2040 ? 2-Comment cette trajectoire peut-elle intégrer une nouvelle assiette fiscale adossée et liée aux actifs bancaires, pétroliers, miniers, télécommunications, assurances, informatiques, industriels et autres ? 3-Que font les autres pays occidentaux et asiatiques qui leur auraient permis des taux de pression fiscale plus élevés ? Est-ce que nous pouvons aller en profondeur l’autopsie et structure de notre fiscalité ; si oui, Madame Fatoumata Foula Diallo, Directrice Générale des impôts, a les propositions idéales de réponses à toutes ces questions stratégiques.

Les causes de cette faiblesse chronique du taux de pression fiscale en Guinée, sont-elles liées aux manques de vision stratégique, Leadership et management durant ces dernières années ? Si oui, alors les solutions se trouvent dans les réformes structurelles profondes et audacieuses, comme celles proposées et réalisées par Madame Fatoumata Foula Diallo, Directrice Générale des impôts. Une dame, reconnue par le silence, caractérisée par la rupture de certaines pratiques et obsédée par le pragmatisme et les résultats concrets dans la conquête du mérite hiérarchique. Le tout dans une convoitise totale et admiration rivée des observateurs de l’Administration fiscale.

Les autorités supérieures de la chaine fiscale, pool économique et financier et autres partenaires internationaux, entre autres, Ministres du Budget, économie et finances, du plan et de la coopération internationale, premier Ministre et partenaires bilatéraux, sous la vigilance de son Excellence Général Mamadi Doumbouya, président de la République veulent elles rehausser le taux de pression fiscale durant les prochaines années ? Si oui, alors Madame, Fatoumata Foula Diallo, Directrice Générale des impôts, est une belle opportunité inexploitée encore dans nos redressements de politiques fiscales. Elle doit être mise dans toutes les conditions administratives, assurances hiérarchiques et protections contre certaines allégations pour le bénéfice des attentes du programme simandou 2040 et autres initiatives présidentielles, qui seraient à l’avantage total de l’ensemble des préoccupations de la population ; car ces nouvelles réformes engagées depuis sa prise de fonction sont orientées uniquement vers les actions concrètes de l’augmentation soutenue et progressive du taux de pression fiscale.

A la Direction Générale des impôts, Madame, Fatoumata Foula Diallo, met tout son curseur sur les objectifs fondamentaux tels que : la Mobilisation des ressources internes, suivant des règles de la transparence administrative, partage de la vision et récompense du mérite, selon les lois en la matière ; la Dématérialisation totale des outils de gestion de la chaîne fiscale par les plateformes digitales, comme SAFIG2 et ses différents modules prévus à cet effet : Un chantier très promoteur pour l’augmentation des capacités de mobilisation des recettes fiscales, également un renforcement de la sécurisation des recettes et un rehaussement sans précèdent du taux de pression fiscal, attendu autour de 13 % à 14% de notre PIB durant les prochaines années ; une Amélioration des relations de l’administration et les contribuables à travers des actions concrètes entre autres, la communication, disponibilité de l’administration fiscale á répondre rapidement aux attentes des contribuables gage du gain de temps et économie ; le Renforcement des capacités techniques et opérationnelles des cadres à travers des plans de formation spécialisée en la matière etc.

De telles reformes, ne peuvent se passer, sans se confronter aux défis et contraintes du moment et adaptabilité à l’échelle interne voir externe, car souvent, l’homme a honneur du changement même s’il apporte du bonheur qu’il chercherait et confort social. Comment, concrétiser un programme aussi gigantesque, comme le programme simandou 2040, sans perspectives réelles de recherche des niches de ressources suffisantes et structurelles devant rehausser le taux de pression fiscal qui stagne au plus faible niveau dans la sous-région ?

Par conséquent, seules ces catégories de réformes réalisées par une experte en la matière, peuvent nous sauver de cette dérive structurelle qu’est la faiblesse chronique du taux de pression fiscal. Si bien sûr en amont, elle est accompagnée et soutenue par tous les membres du CNRD, ceux du Gouvernement du premier Ministre, des collaborateurs de la Direction Générale des impôts, des contribuables et la haute vigilance de son Excellence Général Mamadi Doumbouya, président de la République et en aval une protection divine aux mauvaises intentions, dans l’exécution des stratégies et actions opérationnelles déclinées dès sa prise de fonction et en particulier son engagement personnel envers les anciens et nouveaux clubs des élites féminines du pays.

En conclusion, pour la performance enregistrée et les résultats réalisés, la Direction Générale des impôts et toute l’opinion publique voire internationale seront témoin des événements et moments, de réception des trophées de reconnaissance du meilleur titre de Manager des Administrations Fiscales Modernes, par les institutions crédibles en la matière.

Par Abdoulaye SOUMAH, Doctorant en Politique Budgétaire et Fiscale des Industries Extractives dans les pays en Développement-Fondateur du Cabinet Inteex-Sarl et promoteur du Club Modélisation Africaine-CMA.

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