Alors que le procès du massacre du 28 septembre 2009 commis dans un stade de Conakry se poursuit au tribunal ad-hoc, de nous nouvelles révélations viennent d’être faites. A travers une note déjà versée aux dossiers, l’Organisation des Nations-Unies (ONU) épingle plusieurs services de sécurité guinéens.
Ce sont la Police nationale, l’Armée à travers la Gendarmerie nationale, les Services spéciaux, de lutte anti-drogue et du grand banditisme, et la Sécurité présidentielle.
Pour rappel, plus de 150 personnes avaient perdu la vie en marge d’un appel à manifester lancé par les forces vives d’alors, le 28 septembre 2009.
Mohamed Lamine Souaré
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